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Articles (sans les pages) relatifs aux docteurs et à leurs travaux

Dr. Klenner et la Vitamine C

Le Dr. Frederick Robert Klenner (1907-1984) était un médecin américain qui a été l’un des pionniers de la recherche sur l’utilisation de la vitamine C à hautes doses dès les années 1940. Il a écrit 28 articles scientifiques au cours de sa carrière, principalement sur les applications de la vitamine C pour traiter plus de 30 maladies. Il est considéré comme l’un des précurseurs de la médecine orthomoléculaire. Malgré ses contributions, ses travaux sont largement ignorés par la médecine conventionnelle.

Il a partagé l’histoire de Margaret, qui souffrait de dépression depuis l’âge de 10 ans. Après avoir assisté à une conférence du Dr. Greger et changé son régime alimentaire pour privilégier les produits végétaux complets, elle n’a plus souffert de dépression pendant 9 ans.

Le Dr. Klenner a souligné l’importance de la vitamine C dans le traitement de diverses maladies. Il a mentionné qu’il avait administré jusqu’à 300 grammes par jour d’ascorbate de sodium à pH neutre à ses patients. Il a également partagé ses propres expériences, affirmant qu’il prenait entre 10 et 20 grammes d’acide ascorbique par jour.

Points clés :

  1. La vitamine C joue un rôle crucial dans la formation de substances intercellulaires colloidales.
  2. Elle fonctionne comme un catalyseur respiratoire, aidant la respiration cellulaire.
  3. La vitamine C est également un puissant oxydant et peut améliorer les pouvoirs détoxifiants du foie.

Questions et réflexions :

  1. Comment la recherche actuelle soutient-elle les affirmations du Dr. Klenner sur la vitamine C ?
  2. Pourquoi les travaux du Dr. Klenner sont-ils largement ignorés par la médecine conventionnelle malgré ses découvertes ?
  3. Quels sont les autres avantages potentiels de la vitamine C qui n’ont pas encore été explorés ?

Si vous souhaitez plus d’informations ou des détails spécifiques :

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Les révélations du docteur Greger et de son équipe de médecins bénévoles

Nouveau livre « Soyez l’expert de votre alimentation », format Poche, de Michael Greger

1 – La prévention des MCV selon le Dr Greger

Le Dr Michael Greger met en lumière l’importance de la nutrition dans la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV). Il souligne que les dépôts graisseux sur les parois internes de nos artères sont la principale cause de mortalité humaine. Ces dépôts peuvent provoquer des crises cardiaques, souvent fatales. Cependant, des études montrent que certaines populations, comme en Chine rurale et en Ouganda, ont des taux très faibles de MCV grâce à leurs régimes alimentaires principalement végétaux. Les autopsies ont révélé que les maladies cardiaques commencent dès l’enfance, et les régimes riches en produits animaux augmentent le risque. Le Dr Greger insiste sur le fait que le corps a la capacité de s’auto-guérir si on adopte une alimentation saine. Il critique également la dépendance excessive aux médicaments, comme les statines, qui traitent les symptômes plutôt que la cause sous-jacente. En conclusion, une alimentation basée sur des végétaux peut non seulement prévenir, mais aussi inverser les maladies cardiaques.

2 – Le cancer selon le Dr Greger

Selon le Dr Michael Greger, une alimentation saine peut prévenir la dégradation de l’ADN et les cancers. Le cancer du poumon, principalement causé par le tabagisme, est l’un des plus mortels. Cependant, arrêter de fumer peut rapidement améliorer la santé cardiaque et pulmonaire.

La cuisson, en particulier la friture, peut libérer des toxines cancérigènes. Certains aliments, comme le bacon, sont plus cancérigènes que d’autres. Les légumes, en particulier le brocoli, ont des propriétés protectrices contre les dommages à l’ADN.

Le curcuma est un puissant agent anti-cancer, efficace contre divers types de cancer. Il est largement consommé en Inde, où les taux de cancer sont nettement inférieurs à ceux des États-Unis. Les phytates, présents dans les aliments végétaux complets, sont également bénéfiques pour la prévention du cancer.

Les aliments grillés, en particulier la viande, contiennent des substances cancérigènes. Le cholestérol LDL favorise la croissance des cellules cancéreuses, tandis que les produits laitiers sont liés à plusieurs types de cancer. Les œufs, en raison de leur teneur en choline, sont associés à une augmentation du risque de cancer de la prostate.

En conclusion, une alimentation à base de plantes, riche en légumes, fruits et légumineuses, peut réduire considérablement le risque de cancer. Il est essentiel de faire des choix alimentaires sains pour prévenir et combattre cette maladie.

3 – Les démences selon le Dr Greger

Le Dr Michael Greger met en évidence le lien entre notre alimentation et les maladies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson. Les changements dans notre régime alimentaire, en particulier l’augmentation de la consommation de sucre, ont affaibli notre système circulatoire, conduisant à une diminution de l’irrigation sanguine du cerveau. Cela entraîne la mort prématurée des neurones et empêche la neurogénèse.

Concernant Alzheimer :

  • La maladie d’Alzheimer est fortement liée à l’athérosclérose, une maladie des vaisseaux sanguins.
  • Une alimentation riche en légumes, légumineuses et céréales complètes est recommandée pour prévenir Alzheimer.
  • Les facteurs génétiques jouent un rôle, mais l’alimentation et le mode de vie sont cruciaux. Par exemple, les Nigérians, bien qu’ayant une prédisposition génétique, ont un faible taux d’Alzheimer en raison de leur régime alimentaire pauvre en cholestérol.
  • Le régime méditerranéen, riche en fruits et légumes, est également recommandé pour la prévention.

Concernant Parkinson :

  • Les polluants chimiques, tels que les pesticides et les PCB, sont liés à la maladie de Parkinson.
  • La nicotine, présente dans le tabac et certains légumes comme les poivrons, a un effet protecteur contre Parkinson.
  • La consommation de lait, en particulier à cause du galactose, est liée à un risque accru de Parkinson.
  • La constipation chronique a été identifiée comme un signe précurseur de la maladie.

En conclusion, le Dr Greger souligne l’importance d’une alimentation saine pour prévenir les maladies neurodégénératives. Une alimentation basée sur des produits végétaux complets peut réduire le risque de ces maladies.

4 – Le diabète selon le Dr Greger

Le Dr Michael Greger aborde en profondeur le sujet du diabète, en particulier le diabète de type 2. Voici les points clés :

  • Le diabète de type 2 est principalement causé par une résistance à l’insuline, où le corps ne répond plus efficacement à l’insuline produite.
  • L’augmentation rapide du diabète de type 2 est liée à une alimentation riche en graisses et en calories, entraînant une obésité croissante.
  • Les graisses, en particulier celles d’origine animale, peuvent s’accumuler dans les cellules musculaires, empêchant le sucre d’y pénétrer et provoquant une résistance à l’insuline.
  • Une alimentation riche en produits végétaux peut réduire considérablement le risque de diabète. Les végétariens ont tendance à avoir un risque beaucoup plus faible de développer la maladie.
  • Les graisses végétales, comme celles trouvées dans les noix, les olives et les avocats, sont bénéfiques, contrairement aux graisses animales qui peuvent provoquer une résistance à l’insuline.
  • Les régimes végétaliens ont montré des résultats impressionnants dans la réduction du diabète, même chez ceux qui sont diabétiques depuis de nombreuses années.
  • Les pays asiatiques, autrefois avec de faibles taux de diabète, connaissent maintenant une augmentation due à l’adoption d’un régime alimentaire occidental.
  • Les végétariens ont tendance à avoir un apport plus élevé en nutriments essentiels par rapport à ceux qui consomment de la viande.
  • Adopter un régime végétalien peut avoir des effets rapides et significatifs sur le diabète, avec certains patients n’ayant plus besoin d’insuline après seulement deux semaines.

En conclusion, le Dr Greger souligne l’importance d’une alimentation basée sur les plantes pour prévenir et traiter le diabète de type 2.

5 – Suicide et Dépression selon le Dr Greger

Dans son livre « Mieux manger peut vous sauver la vie », le Dr Michael Greger aborde l’impact de l’alimentation sur la dépression et le suicide. Voici les points essentiels :

  • L’alimentation a une influence significative sur l’humeur et la santé mentale.
  • Margaret, une patiente dépressive depuis l’âge de 10 ans, a vu sa condition s’améliorer radicalement après avoir adopté une alimentation basée sur les produits végétaux complets.
  • Aux États-Unis, près de 40 000 personnes se suicident chaque année, et plus de 15 millions souffrent de dépression majeure.
  • Une bonne santé mentale peut renforcer le système immunitaire.
  • L’acide arachidonique, principalement présent dans les produits animaux, peut causer des inflammations nuisibles au bien-être.
  • Des études ont montré qu’une alimentation riche en fruits et légumes peut réduire le risque de dépression de 60%.
  • Le tryptophane, un acide aminé, est essentiel à la production de sérotonine, l’hormone du bonheur.
  • Les antioxydants des fruits et légumes ont un effet positif sur l’humeur, mais cet effet n’est pas reproduit avec des suppléments.
  • Le microbiote intestinal produit des neurotransmetteurs bénéfiques lorsqu’il est nourri de fibres végétales.
  • Les folates des légumes verts ont un effet antidépresseur.
  • Une alimentation riche en glucides est associée à une réduction des symptômes dépressifs.
  • L’exercice physique régulier est également bénéfique pour l’humeur et peut être aussi efficace que les médicaments contre la dépression.

En conclusion, le Dr Greger souligne l’importance d’une alimentation saine et de l’exercice physique pour la prévention et le traitement de la dépression.

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Dr. Fowler : Vitamine C contre septicémie (sepsis) et détresse pulmonaire

La vitamine C – Pour insuffler une nouvelle vie au traitement des lésions pulmonaires aiguës septiques ? Le Dr Fowler et son équipe.

Le Dr. Fowler a mis en lumière l’importance de la vitamine C dans le traitement de la septicémie et de la détresse pulmonaire. Voici un résumé des informations clés tirées de la page :

  • Contexte : La septicémie, également appelée sepsis, est une réaction inflammatoire généralisée du corps à une infection. Elle peut entraîner une défaillance d’organes et, dans les cas graves, le décès. La détresse pulmonaire est l’une des complications majeures associées à cette condition.
  • Rôle de la vitamine C : Des recherches ont montré que des injections de vitamine C peuvent réduire l’inflammation, préserver la fonction barrière des poumons, favoriser l’expression des canaux hydriques, et aider à éliminer le liquide alvéolaire. Cela permet de garder les poumons secs et de prévenir d’autres complications.
  • Effets bénéfiques : Les injections de vitamine C ont également été associées à une réduction de la thrombose, une diminution des lésions pulmonaires, et une réduction du temps d’hospitalisation. De plus, elles ont montré une capacité à réduire le taux de mortalité.
  • Importance de la recherche : Malgré des décennies de recherche et des milliards de dollars dépensés, il n’y avait pas de thérapie efficace pour traiter la détresse pulmonaire avant la découverte du potentiel de la vitamine C.

Réflexions et questions :

  1. Adoption médicale : Comment la communauté médicale a-t-elle réagi aux découvertes du Dr. Fowler concernant la vitamine C ?
  2. Limitations réglementaires : Pourquoi les injections de vitamine C sont-elles interdites dans certains pays, malgré les preuves de leur efficacité ?
  3. Futur de la recherche : Quelles sont les prochaines étapes pour la recherche sur la vitamine C et son rôle dans le traitement de la septicémie et de la détresse pulmonaire ?

La vidéo

La vidéo est une présentation discutant des avantages et des effets potentiels de la vitamine C dans le traitement du sepsis et du syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Voici un résumé des points clés de la transcription :

Contexte sur la vitamine C et le sepsis :

Le Dr Fowler discute du potentiel de la vitamine C dans le traitement du sepsis et du SDRA, en soulignant qu’il existe une différence significative dans les taux de survie des patients traités avec de la vitamine C par rapport à ceux qui ne le sont pas. Il souligne la gravité des lésions pulmonaires induites par la septicémie, notant que 40 % des patients atteints de cette maladie mourront. Pour illustrer l’ampleur, il compare le bilan quotidien des décès dus à la septicémie aux États-Unis à deux avions 747 à pleine charge qui s’écrasent chaque jour.

La septicémie touche des millions de personnes dans le monde, et un nombre important de patients en soins intensifs développent des lésions pulmonaires aiguës. Malgré sa prévalence, il n’existe pas de traitement efficace pour sauver des vies, même après des recherches approfondies et un financement important.

Il donne un bref aperçu de l’anatomie pulmonaire, en se concentrant sur l’unité capillaire alvéolaire. Il met l’accent sur la fonction barrière des poumons, qui empêche l’accumulation de liquide dans les alvéoles, et sur l’importance des canaux d’eau dans le maintien de cette fonction.

Des recherches menées dans les années 1990 ont indiqué que les patients septiques gravement malades présentaient souvent des taux d’acide ascorbique (vitamine C) inférieurs à la normale. Ces niveaux étaient inversement corrélés à l’incidence des défaillances multiviscérales et directement aux taux de survie. L’orateur suggère que la vitamine C pourrait jouer un rôle crucial dans le traitement du sepsis et de ses complications.

Le Dr Fowler fait référence à la littérature nutritionnelle, notant que les niveaux d’acide ascorbique chutent généralement à mesure que l’état des patients s’aggrave, en particulier en cas de traumatisme massif ou de brûlures.

Essais cliniques :

Il mentionne divers essais cliniques, notamment :

  • Un essai de phase 2 dans lequel la vitamine C a montré une différence significative dans les taux de survie.
  • L’essai VICTUS qui associe vitamine C, thiamine et stéroïdes.
  • Un essai proposé auprès de 1 000 patients se concentrant uniquement sur la vitamine C.

Études de cas:

  • Le cas d’une jeune femme dans un avion qui a développé de graves problèmes respiratoires. On lui a diagnostiqué une infection à l’entérovirus D68 conduisant au SDRA. Après un traitement à la vitamine C, elle a montré une amélioration significative.
  • Un interne en chirurgie de 25 ans atteint d’une maladie génétique unique. Elle a développé une septicémie à deux reprises et a été traitée à la vitamine C, avec des résultats positifs à chaque fois.

Défis de la pratique médicale :

Le Dr Fowler souligne la difficulté de changer les pratiques médicales, en le comparant à « transformer un superpétrolier ». Malgré les preuves démontrant les bienfaits de la vitamine C, il existe une résistance au sein de la communauté médicale au sens large.

Coûts :

Le coût du traitement du sepsis en unité de soins intensifs peut être d’environ 20 000 dollars par jour, tandis qu’un flacon de vitamine C coûte environ 80 dollars. Il suggère que la vitamine C constitue une option thérapeutique rentable.

Raisons de l’augmentation des cas de septicémie :

Il attribue l’augmentation des cas de septicémie au vieillissement de la population, aux traitements agressifs du cancer conduisant à l’immunosuppression et à d’autres conditions telles que les maladies inflammatoires de l’intestin.

Conclusion : 

Le Dr Fowler conclut en exprimant sa gratitude pour l’opportunité de présenter et souligne le potentiel de la vitamine C dans le traitement du sepsis et du SDRA.

La transcription et traduction complète contient de nombreuses informations détaillées qui pourraient être intéressantes pour une compréhension plus approfondie, offerte pour les spécialistes qui veulent des solutions, bénévolement par David Giquello ici :

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Introduction à la super vitamine C – Dr Michel Dumestre

Son livre incontournable « La Panacée originelle : – La vitamine C » ici !

Le Dr. Michel Dumestre, naturopathe spécialisé en thérapie orthomoléculaire, a donné une conférence le 10 octobre 2009 sur la vitamine C. Voici un résumé des informations clés tirées de la page :

  • Conférence sur la vitamine C : Michel Dumestre a présenté une conférence en français sur la vitamine C, mettant en lumière de nombreuses informations sur ses effets bénéfiques, avec des exemples et des citations de médecins renommés.
  • Effets de la vitamine C : Une étude a montré que la vitamine C intracellulaire ralentit le vieillissement des cellules. Elle protège les cellules du stress oxydatif, contribuant ainsi à la longévité.
  • Vitamine C liposomique : Cette forme de vitamine C, encapsulée dans des liposomes, est particulièrement efficace. Elle est délivrée directement aux cellules, offrant une protection accrue contre le stress oxydatif. Le Dr. Levy, un cardiologue, a mentionné que la vitamine C liposomique est au moins 10 fois plus efficace que la vitamine C intraveineuse.
  • Importance de la vitamine C : La vitamine C joue un rôle crucial dans le métabolisme humain. Elle est impliquée dans la synthèse du collagène, la formation des globules rouges, et le renforcement du système immunitaire. Elle contribue également à l’absorption du fer.

Réflexions et questions :

  1. Efficacité de la vitamine C liposomique : Comment la vitamine C liposomique se compare-t-elle à d’autres formes de vitamine C en termes d’efficacité et de biodisponibilité ?
  2. Rôle de la vitamine C dans la prévention : Quels sont les avantages potentiels de la vitamine C pour la prévention des maladies chroniques et du vieillissement ?
  3. Recommandations d’apport : Quels sont les apports recommandés en vitamine C pour maintenir une santé optimale ?

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Les maladies cardiovasculaires selon le Dr de Lorgeril

Comment échapper à l’infarctus et l’AVC, son livre révélateur ici !

Le Dr Michel de Lorgeril, médecin et chercheur au CNRS de Lyon, est un expert reconnu dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Voici un résumé des informations clés tirées de la page :

  • Publication de référence : Le Dr de Lorgeril a coécrit un livre intitulé « Prévenir l’infarctus et l’accident vasculaire cérébral » en 2011 avec Patricia Salen, nutritionniste et diététicienne. Ce livre est basé sur leurs recherches et est considéré comme une référence scientifique sur la prévention des maladies cardiovasculaires par l’alimentation.
  • Étude de Lyon : Le Dr de Lorgeril a été le principal investigateur de l’étude de Lyon des années 1990, qui a démontré l’effet protecteur d’un régime méditerranéen traditionnel, réduisant jusqu’à 70% le risque de rechute d’infarctus.
  • Prévention : Selon le Dr de Lorgeril, bien que les maladies cardiovasculaires soient complexes, elles sont faciles à prévenir. Il souligne l’importance de l’alimentation, de l’exercice physique, et de l’évitement des facteurs de risque comme le tabagisme.
  • Challenges : Malgré les découvertes prometteuses, les autorités médicales n’ont pas toujours suivi les recommandations du Dr de Lorgeril, en partie à cause du lobbying des industries pharmaceutiques.
  • Mode de vie : L’étude de Lyon a mis en évidence l’importance du mode de vie dans la prévention des maladies cardiovasculaires. L’arrêt du tabac, une alimentation méditerranéenne, et l’exercice physique régulier étaient parmi les recommandations clés.

Réflexions et questions :

  1. Impact de l’étude de Lyon : Comment l’étude de Lyon a-t-elle influencé les recommandations diététiques et les pratiques médicales en France et à l’étranger ?
  2. Résistance à la prévention : Pourquoi y a-t-il eu une telle résistance à adopter des mesures de prévention basées sur l’alimentation et le mode de vie ?
  3. Futur de la prévention : Quelles sont les prochaines étapes pour la recherche et la sensibilisation à la prévention des maladies cardiovasculaires ?

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