ClO2 et ascorbate contre infections et pandémies

Les 5 plus grands tueurs infectieux actuels

Bonjour les ami-e-s,

Après avoir visionné une vidéo de l’IHU de Marseille de Septembre 2019… où le Professeur Didier Raoult est directeur, j’ai regardé si les 5 tueurs microbiens majeurs qu’il mentionne, et qui sont rencontrés actuellement dans le monde, sont connus pour être éliminés par le ClO2.

Vidéo : Clostridium difficile : la vraie maladie émergente qui tue en France

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Bulletin d’information scientifique de l’IHU : nous avons le droit d’être intelligents

Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection

Pr Pierre-Edouard Fournier, Médecin biologiste à l’IHU Méditerranée Infection

Yanis Roussel, Etudiant en thèse de science à l’IHU Méditerranée Infection

L’intervieweur demande qu’elle est la bactérie qui tue le plus en cette semaine à Marseille :

Le Pr Pierre-Edouard Fournier répond que c’est la bactérie Clostridium Difficile, principale tueuse chez les patients âgés hospitalisés, sous-estimée sur sa mortalité.

Ensuite le Pr Didier Raoult mentionne la source de données au niveau mondial concernant les causes de mortalité, qui est le « Global Burden of Disease » édité par le journal The Lancet. (Les dernières données accessibles sont pour 2016 https://www.thelancet.com/gbd/2016).

Il dit qu’il n’y a que 2 maladies qui progressent et qui inquiètent le plus, c’est Clostridium Difficile dans le monde, en Europe et aux USA, et la fièvre Dengue dans les pays du Sud.

Le Clostridium Difficile ferait déjà 20.000 morts par an en Europe et 20.000 morts environ aux USA !

Il rappelle que ce sont les vraies maladies émergentes, et non pas celles qui font le « buzz ».

Le Clostridium Difficile est le plus grave problème de maladies infectieuses dans les pays développés.

A 1 min. 45, le Pr Pierre-Edouard Fournier explique qu’environ 10% de la population a ses intestins colonisés par cette bactérie, et ce sont les antibiothérapies données, particulièrement chez les personnes âgées, et en particulier les bêta-lactamines, qui vont notamment créer un déséquilibre de la flore digestive qui va favoriser le développement de Clostridium Difficile qui est résistante à ces antibiotiques.

A 2 min. 33, le Pr Raoult mentionne 2 antibiotiques donnés lors d’infections urinaires qui sont de grands pourvoyeurs de Clostridium Difficile, et qui sont pourtant donnés très souvent !

La mortalité de cette infection peut monter à 50% dans certains cas !

Ils appliquent une méthode simple et peut coûteuse, mais plutôt repoussante, qui est la greffe fécale, qui consiste à introduire des fèces saines dans l’intestin.

C’est à 4 min. 25 que le Pr Raoult énumère les 5 sources infectieuses les plus mortelles en France actuellement (septembre 2019)

1- La grippe et les infections respiratoires qui tuent beaucoup

2- Le Colibacille Escherichia coli (E. coli)

3- Le Staphylocoque Doré (Staphylococcus aureus)

4- Le Bacille Pyocyanique (Pseudomonas aeruginosa, bacille du pus bleu ou pyo)

5- Le Clostridium Difficile, qui tue plus que le SIDA et que l’hepatite C, soit plus de 2.500 morts par an rien qu’en France.


Grâce à cette vidéo, nous connaissons donc maintenant les principales causes d’infections mortelles en France, et nous pouvons chercher dans la littérature scientifique si ces agents pathogènes sont éliminés par le ClO2.

Attention, vous allez découvrir que le ClO2 est extrêmement efficace, et très rapidement, contre la plupart des virus, et même contre la plupart des autres agents pathogènes !

Et pourtant personne n’a le droit de l’utiliser !

1- Grippe et infections respiratoires

Selon l’IHU de Marseille, la première cause de mortalité infectieuse en France, ce sont les grippes et les infections des voies respiratoires.

A/ Voyons d’abord pour la grippe

Selon Wikipédia : la grippe (ou influenza) est une maladie infectieuse fréquente et contagieuse causée par certains virus à ARN de la famille des orthomyxoviridés : le virus de la grippe A, le virus de la grippe B, le virus de la grippe C et le virus de la grippe D2. Elle touche les oiseaux et certains mammifères dont le porc, le phoque et l’être humain. Elle sévit sur un mode épidémique saisonnier essentiellement automno-hivernal dans les pays tempérés, permanent dans des pays tropicaux comme le Cameroun.

Il existe des médicaments antiviraux. Ces traitements, pris précocement, peuvent diminuer l’importance des symptômes et la durée de l’affection et également prévenir l’infection. Mais ils sont coûteux et doivent être pris dans les 48 heures après l’apparition des symptômes :

  • l’oseltamivir (Tamiflu) et le zanamivir (Relenza) sont des inhibiteurs de la neuraminidase ;
  • le baloxavir, un inhibiteur de l’endonucléase, réduit les symptomes et la charge virale ;
  • l’amantadine (Mantadix) et la rimantadine sont actives contre la grippe A (mais pas sur les autres types), avec un taux important de résistance, ce qui fait qu’ils ne sont plus recommandés.

Fin de citation Wikipédia.

Selon la doctrine dominante, il n’existerait donc pas encore d’antiviraux bon marché et efficaces rapidement contre les virus de la grippe ?!

Pourtant voici des études scientifiques qui ont prouvé l’efficacité du ClO2 (Dioxyde de Chlore ou MMS1) contre certains de ces virus grippaux :

1 # L’étude PMID 30395996, publiée en 2019, concerne un sujet majeur depuis quelques années, puisqu’il s’agit de lutter contre les virus de la grippe porcine, car ils se propagent de plus en plus à l’homme, et peuvent être catastrophiques en cas de pandémie… Cette étude prouve que le ClO2 est efficace, et rappelle que le ClO2 est efficace contre nombre d’autres microbes et parasites.

Titre traduit : Le dioxyde de chlore inhibe la réplication du virus du syndrome reproducteur et respiratoire porcin en bloquant l’attachement viral.

2 # L’étude PMID 30264879, publiée en 2018, concerne aussi la protection contre la grippe porcine, et l’élimination et la prévention des agents pathogènes dans un troupeau de porcs.

3 # L’étude PMID  28327506, publiée en 2017, étudie l’efficacité du ClO2, et trouve une activité antimicrobienne supérieure à 98%, et à cette concentration un test d’inhalation pendant 24 h n’a montré aucune anomalie dans le fonctionnement des poumons et d’autres organes. Et elle montre une efficacité contre plusieurs virus grippaux. 

« Les concentrations inhibitrices mi-maximales (CI50) de H1N1, du virus de la grippe B / TW / 71718/04 et EV71 étaient respectivement de 84,65 ± 0,64, 95,91 ± 11,61 et 46,39 ± 1,97 ppm. « 

Titre traduit : Évaluation de l’efficacité et de l’innocuité d’une solution de dioxyde de chlore.

4 # L’étude PMID 22933663, publiée en 2012, confirme en détails le processus d’inactivation du virus de la grippe A (H1N1) par le gaz de ClO2.

Titre traduit : Inactivation de l’hémagglutinine du virus de la grippe par le dioxyde de chlore : oxydation du résidu de tryptophane 153 conservé dans le site de liaison aux récepteurs.

5 # L’étude PMID 21950421, publiée en 2011, démontre encore que le gaz ClO2 à faible concentration (moyenne 0,05 ppm) inactive divers types de microbes tels que les bactéries Gram-positives et Gram-négatives, les virus enveloppés et non enveloppés à l’état humide, dont le virus de la grippe A.

« Le virus de la grippe A (Flu-A), le calicivirus félin (FCV), Staphylococcus aureus et Escherichia coli ont été choisis comme microbes modèles. »

Titre traduit : Effet du dioxyde de chlore à faible concentration contre les bactéries et les virus sur une surface en verre dans des environnements humides.

6 # L’étude PMID 20616431, publiée en 2010, a évalué l’activité antivirale du dioxyde de chlore gazeux (CD = ClO2) et de l’hypochlorite de sodium (SH), sur 8 virus différents, et conclut que le Dioxyde de Chlore à des concentrations de 1 à 100 ppm produit une puissante activité antivirale, inactivant plus de 99,9% des virus en 15 secondes, dont le virus de la grippe humaine ou celui de la rougeole, ce qui est 10 fois supérieur à celle de l’hypochlorite de sodium.

« Le Dioxyde de Chlore à des concentrations allant de 1 à 100 ppm a produit une puissante activité antivirale, inactivant > ou = 99,9% des virus avec un traitement de sensibilisation de 15 secondes. »

Titre traduit : Évaluation de l’activité antivirale du dioxyde de chlore et de l’hypochlorite de sodium contre le calicivirus félin, le virus de la grippe humaine, le virus de la rougeole, le virus de la maladie de Carré, l’herpèsvirus humain, l’adénovirus humain, l’adénovirus canin et le parvovirus canin.

7 # L’étude PMID 20149404, publiée en 2010, a testé différentes méthodes de désinfection contre les nouveaux virus dévastateurs de l’époque, Ils concluent que parmi les traitements de désinfection chimique, l’ozone, le chlore et le dioxyde de chlore étaient tous très efficaces pour inactiver les virus grippaux H5N1 et le H1N1.

Titre traduit : Évaluation de l’élimination et de l’inactivation des virus grippaux H5N1 et H1N1 par le traitement de l’eau potable.

8 # L’étude PMID 18089729, publiée en 2008, s’inquiète des risques de pandémie de grippe, et découvre que le ClO2 est efficace pour empêcher la propagation dans l’air, même à des doses inférieures au maximum recommandé pour des expositions à long terme ! On aurait bien besoin de ce moyen très bon marché et sans danger, aujourd’hui contre cette nouvelle épidémie de coronavirus !!

« Le gaz ClO2 pourrait donc être utile comme moyen préventif contre la grippe dans les lieux d’activité humaine sans nécessiter d’évacuation.

Titre traduit : Effet protecteur du gaz de dioxyde de chlore à faible concentration contre l’infection par le virus de la grippe A.

B/ Voyons ensuite pour les infections respiratoires

Selon l’OMS : Les maladies respiratoires touchent les voies aériennes, y compris les voies nasales, les bronches et les poumons. Elles vont d’infections aiguës comme la pneumonie et la bronchite à des affections chroniques telles que l’asthme et la bronchopneumopathie chronique obstructive.

– La pneumonie :

Selon Wikipédia : L’incidence des pneumonies en France serait de 400 à 600 000 nouveaux cas par an. Les pneumonies seraient responsables de 16 000 décès par an. Il semblerait que les pneumonies soient la deuxième cause d’infections nosocomiales, derrière les infections urinaires.

Les pneumonies aiguës sont, le plus souvent, des infections bactériennes. Les germes les plus souvent identifiés sont, par ordre décroissant, le Streptococcus pneumoniae, l’Haemophilus influenzaeLegionella pneumophilaMycoplasma pneumoniae.

Fin de citation Wikipédia.

– La Bronchite aiguë

Selon Wikipédia : Dans plus de 90% des cas, une infection virale est en cause (virus pouvant se propager par voie aérienne via la toux, l’éternuement, ou par contact d’objets contaminés). Rarement des bactéries tels que Mycoplasma pneumoniae ou Bordetella pertussis sont en cause.

Fin de citation Wikipédia.

– L’asthme

Selon Wikipédia : N’est pas causé par un microbe.

– La bronchopneumopathie chronique obstructive

Selon Wikipédia : N’est pas causée par un microbe.

Elle est classiquement associée à la bronchite chronique et à l’emphysème pulmonaire. On soupçonne que l’inflammation chronique des poumons entraîne les dysfonctionnements constatés au niveau musculaire. Les causes principales de cette maladie sont le tabagisme (cause la mieux documentée) et d’autres formes de pollution de l’air, « la fraction de risque attribuable aux expositions professionnelles » était évaluée par des épidémiologistes entre 15 et 20 %.

Fin de citation Wikipédia.

Il n’y a pas d’études anglophones spécifiques faites avec le ClO2 contre ces agents de la pneumonie et de la bronchite, mais il y a assez d’études qui montrent l’efficacité immédiate du ClO2 contre la plupart des agents microbiens, virus, bactéries, fongus ou parasites. Il serait donc temps de prouver sa valeur contre ces causes importantes de mortalité, avant d’utiliser des médicaments aux effets secondaires souvent importants, et qui sont parfois aussi très coûteux.

2 – Le Colibacille Escherichia Coli

Selon l’IHU de Marseille, la deuxième cause de mortalité infectieuse en France, c’est le Colibacille Escherichia coli (Wikipédia : E. coli).

5 # L’étude PMID 21950421 mentionnée plus haut, publiée en 2011, démontre encore que le gaz ClO2 à faible concentration (moyenne 0,05 ppm) inactive divers types de microbes tels que les bactéries Gram-positives et Gram-négatives, les virus enveloppés et non enveloppés à l’état humide.

« MÉTHODES ET RÉSULTATS : Nous avons installé une salle d’essai (39 m3) et le gaz ClO2 a été produit par un générateur de gaz ClO2 qui libère en continu un gaz ClO2 constant à faible concentration. Le virus de la grippe A (Flu-A), le calicivirus félin (FCV), Staphylococcus aureus et Escherichia coli ont été choisis comme microbes modèles.

SIGNIFICATION ET IMPACT DE L’ÉTUDE : Cette étude démontre que le gaz ClO2 à faible concentration (moyenne 0,05 ppmv) inactive divers types de microbes tels que les bactéries Gram-positives et Gram-négatives, les virus enveloppés et non enveloppés à l’état humide. »

9 # L’étude PMID 12597475, publiée en 2003, compare différentes méthodes de désinfection contre plusieurs agents pathogènes pouvant être présents sur des fraises. Le meilleur résultat revient au ClO2, qui était produit instantanément, par une acidification du chlorite de sodium. Contre : Escherichia coli O157 : H7, Salmonella Montevideo, le poliovirus 1 et les bactériophages PRD1, phiX174 et MS2.

“Dans l’ensemble, 200 ppm de chlorite de sodium acidifié ont produit les plus grandes réductions de micro-organismes.”

Titre traduit : Réduction du poliovirus 1, des bactériophages, de Salmonella montevideo et d’Escherichia coli O157 : H7 sur les fraises par des lavages physiques et désinfectants.

3 – Le Staphylocoque Doré

Selon l’IHU de Marseille, la troisième cause de mortalité infectieuse en France, c’est le Staphylocoque Doré (Wikipédia : Staphylococcus aureus).

10 # L’étude PMID 23951794, publiée en 2012, compare le ClO2 au dichloroisocyanurate de sodium en milieu dentaire, pour différents microbes, et conclut en faveur du ClO2 :

“Les deux peuvent être utilisés dans les milieux dentaires pour les surfaces et les instruments sensibles à la chaleur. Cependant, le dioxyde de chlore est avantageux car il est non corrosif et la concentration efficace est inférieure à celle recommandée pour le dichloroisocyanurate de sodium.”

Le staphylocoque doré, qui est l’espèce la plus pathogène du genre Staphylococcus. Elle est responsable d’intoxications alimentaires, d’infections localisées suppurées et, dans certains cas extrêmes, d’infections potentiellement mortelles.

Titre traduit : Comparaison des désinfectants au dioxyde de chlore et au dichloroisocyanurate pour une utilisation en milieu dentaire.

4 – Le Bacille Pyocyanique

Selon l’IHU de Marseille, la quatrième cause de mortalité infectieuse en France, c’est le Bacille Pyocyanique (Wikipédia : Pseudomonas aeruginosa).

10 # L’étude PMID 23951794 mentionnée plus haut, publiée en 2012, compare le ClO2 au dichloroisocyanurate de sodium en milieu dentaire, pour différents microbes, et conclut en faveur du ClO2 :

“Les deux peuvent être utilisés dans les milieux dentaires pour les surfaces et les instruments sensibles à la chaleur. Cependant, le dioxyde de chlore est avantageux car il est non corrosif et la concentration efficace est inférieure à celle recommandée pour le dichloroisocyanurate de sodium.”

La bactérie Pseudomonas aeruginosa, autrement connu sous le nom de bacille pyocyanique, bacille du pus bleu ou pyo, très résistante, elle est — avec d’autres bactéries à gram-négatif — de plus en plus souvent responsable d’infections nosocomiales. C’est l’une des bactéries les plus difficiles à traiter cliniquement. Le taux de mortalité atteint 50 % chez les patients vulnérables (immunodéprimés).

Titre traduit : Comparaison des désinfectants au dioxyde de chlore et au dichloroisocyanurate pour une utilisation en milieu dentaire.

5 – Le Clostridium Difficile

Selon l’IHU de Marseille, la cinquième cause de mortalité infectieuse en France, c’est le Clostridium Difficile (Wikipédia : Clostridioides difficile, anciennement Clostridium difficile).

11 # L’étude suédoise, publiée par le Département de médecine de laboratoire de microbiologie, de l’Hôpital universitaire d’Örebro, Suède.

Conclusion : Le Dioxyde de chlore de 1600 ppm de concentration s’avère sporicide contre Clostridium Difficile, lorsqu’il est testé sur des porte-verres. Une désinfection rapide en une minute en fait un agent intéressant pour le nettoyage quotidien des hôpitaux où les lingettes ajoutent un soutien mécanique.
Presque tout le ClO2 est émit d’une solution externalisée en 4 minutes (données non présentées) donnant moins de risque de corrosion et d’irritants respiratoires soutenus, comparé à l’hypochlorite.

Titre traduit : Le dioxyde de chlore réduit efficacement les infections de Spores de Clostridium difficile sur les surfaces de verre inoculées. En PDF ici

12 # L’étude PMID 16061137, publiée en 2005, compare plusieurs produits,et trouve une efficacité du ClO2, bien que les concentrations ne soient peut-être pas optimales.

Résultats : Le dioxyde de chlore et la concentration la plus basse d’agent de blanchiment ordinaire testé ont nécessité environ 30 minutes pour le même niveau d’activité.

Titre traduit : Activité de certains microbicides oxydants contre les spores de Clostridium difficile : pertinence pour le contrôle environnemental.

13 # Un rapport des Hôpitaux Universitaires de Genève en Suisse, qui présente, entre autres désinfectants, des lingettes imbibées de Dioxyde de Chlore. En PDF ici.

Titre : Clostridium difficile en EMS. De la théorie à la pratique. Par Yves Longtin et Valérie Sauvan

La première lingette sporicide à action rapide au monde. Biocidiquement, la lingette sporicide Tristel est de loin supérieure à une lingette qui utilise de l’alcool, un ammonium quaternaire composé, un biguanide, du gluconate de chlorhexidine ou toute autre chimie.

Caractéristiques :

• La lingette activée unique Tristel brevetée intègre du dioxyde de chlore
• Sporicide ; mycobactéricide ; bactéricide ; virucide ; fongicide
• La lingette tue tous les organismes sur une surface pré-nettoyée en 30 secondes
• Les lingettes sont emballées individuellement dans des sachets
• Des étiquettes de traçabilité en option sont disponibles avec activation de la piste d’audit qualité
• Dispositif médical de classe IIa

Le site du fabricant qui présente ses lingettes désinfectantes au ClO2 pour hôpitaux.


Vous pouvez retrouver 83 études scientifiques anglophones que j’ai énumérées ici


Historique mondial des grandes infections respiratoires

Voici la liste des grandes infections respiratoires qui ont eu lieu dans notre passé, et les virus qui en sont responsables. Contenu extrait de cette vidéo du mondialement célèbre Institut Hospitalier Universitaire de Marseille, spécialisé dans les maladies infectieuses.

Si la vidéo ne s’affiche pas, le lien est ici https://youtu.be/JdU1tzMu6xQ

Par le Pr. Pierre-Edouard Fournier, de l’IHU Méditerranée Infection. Il est chef d’équipes au service de Surveillance épidémiologique et moléculaire des maladies infectieuses.

Equipe 6 UMR D 257 Vecteurs – Infections  Tropicales et Méditerranéennes (VITROME)
Aix-Marseille Université (AMU), Institut de Recherche pour le Développement (IRD) – Service de Santé des Armées (SSA). Page officielle ici https://www.mediterranee-infection.com/pr-pierre-edouard-fournier-md-phd/

Début du résumé de la vidéo : C’est l’épidémie COVID de cette année 2020 qui les a poussé à s’intéresser à ces infections, notamment pour voir dans quelle mesure on pouvait les prédire.

Cette vidéo concerne la partie sur les infections virales en zones tempérées. Les infections virales dans les zones tropicales et les infections bactériennes seront traitées dans deux autres conférences.

L’étude des infections respiratoires n’est pas nouvelle, puisque Hippocrate, il y a presque 2500 ans, avait écrit un livre dédié aux épidémies, dans lequel il décrivait déjà très bien des épidémies hivernales de maladies respiratoires.

Il n’avait pas la capacité à déterminer quel type d’infection c’était, mais il avait constaté l’existence de ces épisodes qui se produisaient régulièrement.

Donc pour résumer grossièrement, en hiver nous avons la Grippe et les Coronavirus humains, le VRS (Virus Respiratoire Syncytial), et nous avons les Parainfluenza (HPIV), qui ont chacun une période spécifique. Le Métapneumovirus (MPV) qui est plus ou moins toute l’année mais plutôt l’hiver. Les Rhinovirus qui sont complètement imprévisibles, et puis les autres Entérovirus qui sont des maladies estivales.

Il prend ensuite l’exemple de la grippe à Marseille, qui montre bien un pic marqué chaque hiver, souvent entre novembre et avril, et se décalant maintenant vers la période de décembre à mai. Mais chaque hiver est différent, c’est soit la grippe A ou la B, soit un pic élevé ou moins important, ce qui les empêche de pouvoir prédire, d’une année sur l’autre, ce qui va se passer, si ce n’est qu’il va y avoir une grippe.

Donc le modèle pour les zones tempérées, c’est une épidémie en cloche, qui se produit l’hiver dans l’hémisphère nord,et à l’opposé du calendrier dans le sud. Il en va de même pour le VRS, et presque en même temps que la grippe.

02 mn 50 : Sur les coronavirus saisonniers. C’est plus compliqué que la grippe, surtout dans certaines zones de la Chine, mais en gros ce sont aussi des épidémies en cloche qui peuvent se produire entre novembre et mai, quel que soit le coronavirus.

Données pour Marseille, Pr. Pierre-Edouard Fournier, IHU Méditerranée Infection.

Donc à Marseille cela commence souvent par l’épidémie de VRS, puis une des grippes, mêlée avec du MPV chaque année, et le Rhinovirus qui est complètement indépendant et survient toute l’année de façon imprévisible.

04 mn 00 : Commence la partie difficile, sur les pandémies, puisqu’elles ne sont pas du tout prévisibles, connues depuis l’antiquité, certaines appelées à tort « Pestes », et ensuite grippes.

  1. Pandémie de grippe Russe de 1890, de type H2N2
  2. Pandémie de grippe Russe de 1900, de type H3N2
  3. Grippe espagnole de 1918-19, de type H1N1
  4. Grippe asiatique de 1957-58, de type H2N2
  5. Grippe de Hong-Kong de 1968-70, de type H3N2
  6. SARS-CoV-1 de 2002-2003, de type Betacoronavirus
  7. Grippe mexicaine de 2009-2010, de type H1N1
  8. MERS-CoV de 2013-14, de type Betacoronavirus
  9. SARS-CoV-2 de 2019-??, de type Betacoronavirus

Cet IHU a fait 367 000 tests pour 265 000 personnes, au 18 novembre 2020, desquelles presque 24 000 cas ont été diagnostiquées positives, et sur les 11 169 patients hospitalisés, 344 sont décédés.

(Remarque de David : cela fait donc 1 décès pour 770 testés, ou 1 décès pour 70 positifs = 1,4% de mortalité chez les positifs, ou 1 décès pour 32 hospitalisés = 3% de mortalité chez les hospitalisés)

Ensuite il cite des statistiques d’un institut américain qui a étudié ces virus et leur persistance au fil des ans, et donc :

  • Le H1N1 de la grippe espagnole a disparu autour de 1940 et est réapparu en 2009.
  • Le H2N2 de la grippe asiatique a diminué durant la période 1957-67 et n’est jamais réapparu.
  • Le H3N2 de la grippe de Hong-Kong n’a jamais disparu.

Cela rend donc toute prédiction très compliquée, et il est donc impossible aujourd’hui de savoir ce que va devenir le SARS-CoV-2 !

Fin de mon résumé de cette vidéo.

Pour les personnes intéressées par la capacité du biocide Dioxyde de Chlore à désactiver ces virus ou à détruire les infections bactériennes qui y sont souvent associées, j’ai traduit les résumés et conclusions ICI de dizaines de publications anglophones présentes sur PubMed.

Ces études montrent une efficacité bien connue du ClO2 (dioxyde de chlore) contre, notamment, les virus SARS-CoV-1 de 2003, contre ceux des grippes humaines, porcines et aviaires, mais aussi du VIH-1, de la polio, de l’herpès, de la rougeole et j’en passe, ainsi que contre de nombreux virus de nos 30 millions d’amis !

Le ClO2 y est aussi montré efficace, notamment, contre la bactérie E-Coli, le staphylocoque doré, la salmonelle, la tuberculose et le biofilm bactérien en général, ce qui est extrêmement important. Mais le ClO2 est aussi efficace, comme ces études le montrent, contre les levures, et les parasites.

Rappel : le ClO2 (dioxyde de chlore) et l’Ascorbate (vitamine C) ont des moyens d’action opposés, et s’annulent donc si ils se rencontrent. Le ClO2 oxyde et donc tout antioxydant, comme la vitamine C, le neutralisera. Il faut donc choisir entre les deux, ou alterner avec plusieurs heures de séparation. (Selon le Dr Klenner, la vitamine C peut agir comme oxydant et antioxydant mais en général c’est deux produits se neutralisent mutuellement).

Et pour les personnes intéressées par la capacité de l’ascorbate à combattre ces virus et bactéries, il faut se référer aux travaux des Docteurs Frederick Klenner ICI, ou Thomas Levy ICI, et bientôt sur une nouvelle page dédiée aux études montrant les effets spécifiques à chaque pathogène.


Gros kyste sébacé !

Pour finir, si vous connaissez le Pr Raoult, faites lui parvenir le message suivant :

Les kystes sébacés sont très faciles à faire disparaître en quelques jours, en appliquant du ClO2 dilué en compresse pendant quelques minutes plusieurs fois par jour (les bactéries qui se nourrissent du sébum sont alors tuées)

1 goutte ou 2 de MMS1 activé (ClO2) puis dilué dans 50ml d’eau en compresse

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