Pr Luc MONTAGNIER, lanceur d’alertes

(Rappel : en traitant ce type de sujet contenant des mots « interdits » par les moteurs de recherche, je vous demande de faire suivre ces informations autour de vous, car elles sont censurées sur internet)

Le Professeur Montagnier a eu de grands succès en virologie dès les années 1960, c’est à dire qu’il a plus de 60 ans d’expérience de haut niveau dans ce domaine, et peut donc être considéré comme un très grand spécialiste des virus, d’autant qu’il travaille toujours avec des équipes d’autres spécialistes de haut niveau.

Selon Wikipédia :

Il a reçu le Prix Nobel de médecine de 2008 avec Françoise Barré-Sinoussi et Harald zur Hausen, pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d’immunodéficience acquise (sida).

À Paris, à 23 ans, il est assistant à la faculté des sciences de Paris. Il se perfectionne dans les méthodes de culture de cellules humaines en conditions stériles. En 1957, la première description d’un ARN viral (celui du virus de la mosaïque du tabac) par Fraenkel-Conrat (en), Gierer (de) et Schramm (de) détermine sa vocation : devenir un virologue grâce à l’approche moderne de la biologie moléculaire.

En 1960, il entre au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), puis effectue des stages en Grande-Bretagne, dans des laboratoires de virologie. En 1963, à Carshalton, dans le laboratoire de F. K. Sanders, il découvre la forme réplicative des virus à ARN, en isolant une molécule infectieuse en double hélice d’ARN analogue à celle de l’ADN dans le virus murin encephalomyocarditis (en)2. C’est la première fois que l’on démontre qu’un ARN peut se répliquer comme l’ADN, en produisant un brin complémentaire. Il travaille ensuite à Glasgow où il montre que, chez le virus oncogène Polyomavirus, l’ADN nu seul comporte le pouvoir oncogène.

De retour en France, à l’Institut Curie, en collaboration avec Philippe Vigier, il étudie la réplication et la structure de l’ARN d’un rétrovirus, le virus du sarcome de Rous. Il démontre que ce rétrovirus intègre son patrimoine génétique dans l’ADN des cellules infectées[réf. nécessaire].

En 1972, à l’invitation de Jacques Monod, il crée l’unité d’oncologie virale dans le nouveau département de virologie de l’Institut Pasteur. Ses recherches vont alors porter en partie sur l’interféron et sur son rôle dans l’expression génétique des virus. En 1982, il découvre une nouvelle activité enzymatique associée aux mitochondries des cellules cancéreuses.

En 1975, il est rejoint par Jean-Claude Chermann et sa collaboratrice, Françoise Barré-Sinoussi, spécialisés dans la recherche de transcriptase inverse, qui s’attellent à chercher des rétrovirus infectant des humains.

Découverte du VIH

En 1983, c’est la découverte avec ses collaborateurs Jean-Claude Chermann et Françoise Barré-Sinoussi d’un nouveau rétrovirus humain, le Lymphadenopathy Associated Virus (LAV), maintenant reconnu comme le virus agent causal du sida.

En 1986, le groupe de Luc Montagnier découvre un second virus associé au sida en Afrique de l’Ouest [3], mais très différent du premier par ses séquences moléculaires.

Luc Montagnier est le premier chef du nouveau département « Sida et rétrovirus » de l’Institut Pasteur, à Paris, qu’il dirige de 1991 à 1997 [4].

Par ailleurs, Luc Montagnier et ses collaborateurs démontrent que des mycoplasmes augmentent considérablement l’effet cytopathogène du virus.

En 1993, il crée la Fondation mondiale prévention et recherche sida (FMPRS), sous l’égide de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), dont le but est de créer des centres de recherche en Afrique [5]. En 1997, alors âgé de 65 ans, il peut continuer à travailler comme chercheur émérite, mais la loi lui interdit de diriger un laboratoire de recherche en France [6]. C’est pour cette raison qu’à partir de cette année et jusqu’en 2001, il est professeur et directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire au Queens College de l’université de la ville New York [7,8].

Selon France-Soir :

Il n’était plus apparu depuis ses attaques en règle véhiculées dans toute la presse depuis avril 2020. Beaucoup de chaînes voulaient le Pr Montagnier. Il a choisi FranceSoir pour s’exprimer, et s’essaie au Défi de la vérité, notre nouvelle émission. Au micro de Richard Boutry, il persiste et signe.

Devant la multitude de questions des Français sur la crise sans précédent que traverse le pays, FranceSoir a développé une nouvelle émission : le Défi de la vérité.  Elle vient compléter les Debriefings développés récemment avec des personnalités scientifiques, des médecins, des avocats afin d’apporter un éclairage et des réponses à diverses questions sur les traitements, les masques, le mérite du confinement, les tests PCR, la gestion de la crise par le gouvernement.

Vidéo d’interview originale mise sur Youtube puis censurée https://www.youtube.com/watch?v=08CAfBz5qws

Cette interview est maintenant disponible sur la page de France-Soir du site alternatif Odysee, ici https://odysee.com/@francesoir:2/luc-montagnier-au-d-fi-de-la-v-rit:4

Petit résumé de cette interview exclusive de France-Soir

Commenté et augmenté de sources complémentaires par David Giquello :

Le Pr Montagnier dit avoir choisi France Soir pour s’exprimer, parce que c’est un journal qui parle de la vérité, ce qui est devenu rare depuis quelques temps.

(David : C’est vrai que désormais 99% des médias grand public sont détenus par de grandes sociétés dont les actionnaires sont une poignée de milliardaires, ce qui fausse complètement le choix des informations et la façon dont ils les traitent. Selon ACRIMED : « Des positions sont cumulées, par exemple par Vivendi Universal (audiovisuel, édition, multimédia, télécommunications) ; par Lagardère (édition, presse, radio et multimédia) ; par Bouygues (télévision et télécommunications) ; par Pinault (presse, télévision et distribution de produits culturels). Hachette et Hersant-Dassault dominent la presse périodique et la presse et la télévision régionale. »)

Le Pr Montagnier avait été attaqué par tous ces médias après avoir annoncé sur CNEWS :

« Le coronavirus est un virus sorti d’un laboratoire chinois avec de l’ADN de VIH. Le laboratoire de la ville de Wuhan s’est spécialisé sur ces coronavirus depuis le début des années 2000. Ils ont une expertise dans ce domaine. On n’a pas été les premiers, puisqu’un groupe de chercheurs indiens a essayé de publier une étude qui montre que le génome complet de ce coronavirus a des séquences d’un autre virus, qui est le VIH, le virus du sida. C’est un travail d’apprenti sorcier ».

Le Professeur explique que déjà à l’époque de la découverte du VIH, il avait dû se battre, et qu’il en a donc l’habitude, et qu’il faut avoir le courage de le faire, comme France Soir l’a. Il n’a pas été affecté malgré la très grande violence de la campagne de dénigration qu’il a subi, mais parfois énervé d’entendre les bêtises qui étaient dites dans cette affaire.

Il est d’accord avec Albert Einstein qui disait que la bêtise est très répandue dans l’univers. Il est très inquiet de la bataille des informations qui a lieu, car on ne s’en tient plus à la vérité, tout les acteurs du débat mentent, et la science passe au second plan et perd sa crédibilité, alors qu’elle devrait être la base de la réflexion.

Il fait partie du groupe Chronimed, un regroupement de médecins, qui sont tous d’accord avec le fait que ce virus a pu évoluer en partie naturellement, mais qu’il y a aussi eu fabrication de certaines parties, peut-être simplement dans le cadre des recherches qui étaient menées dans ce très grand laboratoire de virologie chinois.

(David : Chronimed est une association loi de 1901 fondée par le Pr Luc Montagnier, Corinne Skorupka, Dominique Rueff, le Dr Philippe Bottéro et le Dr Philippe Raymond, en tant que « groupe de réflexion sur les infections froides, l’inflammation et les phénomènes ondulatoires ». Elle est présidée par le Dr Gérard Guillaume, et travaille sur l’autisme et la maladie de Lyme. Cette association semble faire du bon travail, par contre elle est impliquée dans un scandale reconnu de piratage d’articles, notamment de Science-et-Avenir, ce qui a vraiment terni son image. Son Blog a d’ailleurs disparu, et il est très difficile de trouver des infos sur cette association… censure, dissolution !?)

Il confirme ses déclarations de Mai 2020, et précise qu’ils ont même développé leur recherche plus avant, et ont trouvé une séquence du plasmodium de la malaria dans ce nouveau virus !

Il explique qu’il est connu que ces chercheurs chinois travaillaient sur un vaccin contre le VIH, et que ce virus était censé être utilisé comme vecteur servant à exprimer les protéines de ce VIH. Ils ont donc choisi un virus très transmissible, mais qu’ils pensaient inoffensif, et il y aurait eu une erreur d’estimation, sans malveillance, croyant que ce virus ne déclencherait pas de maladies graves.

Il rappelle une des faiblesses de la pensée scientifique médicale actuelle, qui considère qu’une maladie est due à un seul agent pathogène. Or, pour le VIH déjà, il pensait qu’un second agent agissait comme cofacteur dans le développement de la maladie, une petite bactérie intracellulaire dans le cas du VIH.

Il trouve raisonnable d’appliquer la même hypothèse avec ce VIRUS-19, puisqu’il y a un effet positif de l’antibiotique azithromycine sur cette nouvelle maladie.

A 7mn30, le Pr Montagnier dit : « Il y a des séquences de nucléotides qui codent pour des protéines, qui sont d’une taille telle qu’on peut éliminer le hasard. D’abord toutes ces séquences sont concentrées dans l’extrémité du gène codant pour la protéine de surface du coronavirus, et il y en a 7 ou 8 qui sont là maintenant, très serrées les unes contre les autres, et ce n’est peut-être pas le hasard ! »

C’est une collaboration avec les mathématiciens qui permet de faire ces évaluations, et de plus en plus la biologie en a besoin, de par sa complexité grandissante. Tout dépend de l’ADN, et pourtant il semble n’y avoir que 3% de celui-ci qui code pour des protéines, pour notre chimie, le reste étant souvent des séquences répétitives dont nous ne connaissons pas l’utilité.

(David : tiens, seulement 3% de compréhension dans la génétique, cela me rappelle les seulement 4% de l’univers dont les astrophysiciens ont connaissance, le reste étant encore dans un flou complet. Il n’y a pas de honte à ne connaitre que quelques pourcentages d’un sujet d’étude, par contre il faut dans ce cas garder toute humilité et ne pas prétendre tout savoir ou tout maîtriser comme le font trop souvent les scientifiques fonctionnaires ou de grande audience)

A la minute 10 ils abordent le sujet de la vaccination par ARN messager, que je vous laisse découvrir par vous-même dans cette interview. L’avis du Professeur sur la question est très alertant !

Il nous rappelle que le vaccin n’est pas la seule solution, puisqu’il existe déjà des traitements, comme l’azytro…, la chloroqui…, et encore d’autres, comme certaines plantes qui agissent contre le paludisme.

Il trouve tout à fait normal de soutenir le Pr Didier Raoult, puisque son protocole fonctionne. Le vaccin est une bonne solution pour la prévention, mais pour soigner, il faut aussi que la recherche s’investisse.

Il est inquiet de la dérive des politiciens vers une intellectualisation de la médecine, loin de la réalité des choses, bien qu’il y ait presque un tiers de médecins à l’Assemblée Nationale, mais très peu d’infectiologues.

A la 14ème minute il aborde le sujet de l’autisme, qui semble n’être pas d’ordre psychiatrique mais biologique, puisqu’on y trouve des infections. Et des antibiotiques donnent des effets très spectaculaires, ce qui est complètement caché au grand public !

Il y a des gens très puissants, comme Bill Gates et d’autres, qui n’y connaissent rien en médecine, et qui pourtant mènent le monde vers des solutions de leur choix, comme la vaccination pour l’ensemble de la population humaine, quitte à les forcer. Même s’ils ont une bonne intention de départ, cela finit par faire plus de mal que de bien.

A la 17ème minute ils abordent le cas du Pr Fourtillan qui venait d’être interné de force en hôpital psychiatrique, ce qui lui rappelle la barbarie de l’époque de Staline.

Pour finir il explique qu’il ne compte pas se faire vacciner, et qu’en cas de « symptôme grippal » il prend un peu d’Azytro… et de Plaquén…

La publication du Pr Montagnier sur le virus

Source : https://zenodo.org/record/3975578#.YAk6PmjYqEt

DOI: https://doi.org/10.29121/granthaalayah.v8.i7.2020.678

COVID-19, SARS AND BATS CORONAVIRUSES GENOMES PECULIAR HOMOLOGOUS RNA SEQUENCES

Jean claude Perez ; Luc Montagnier, du 02 août 2020

Extraits traduits :

Titre : SÉQUENCES D’ARN HOMOLOGUES PARTICULIÈRES DES GÉNOMES DE CORONAVIRUS COVID-19, SRAS ET BATS.

  1. 18 fragments d’ARN d’homologie égale ou supérieure à 80% avec des rétrovirus humains ou simiens ont été trouvés dans le génome COVID_19.
  2. Ces fragments ont une longueur de 18 à 30 nucléotides et ont donc le potentiel de modifier l’expression génique de Covid19. Nous les avons nommés éléments informatifs externes ou EIE.
  3. Ces EIE ne sont pas dispersés au hasard, mais sont concentrés dans une petite partie du génome COVID_19.
  4. Parmi cette partie, une longue région de 225 nucléotides est unique à COVID_19 et Bat RaTG13 et peut discriminer et distinguer formellement ces 2 génomes.
  5. Dans la pente décroissante de l’épidémie, cette zone de 225 bases et la région de Spike de 1770 bases, présente un taux anormalement élevé de mutations / délétions (cas de 44 patients de l’état de WA Seattle, épicentre d’origine aux USA).
  6. Dans l’analyse comparative des deux gènes SPIKES de COVID_19 et Bat RaTG13, nous notons deux faits anormaux : A• L’insertion de 4 acides aminés PRRA contigus au milieu de SPIKE (alors nous montrons que ce site était déjà un site de clivage optimal AVANT cette insertion). B• Un rapport anormal de codons synonymes / codons non synonymes dans la seconde moitié de SPIKE. 
  7. Enfin, nous montrons l’insertion dans cette région SPIKE de 1770 bases d’un EIE significatif de Plasmodium Yoelii et d’un éventuel HIV1 EIE avec une mutation Spike cruciale.

 A travers les 14 faits relatifs à chacun des 14 paragraphes de cet article, tout converge vers d’éventuelles manipulations de laboratoire (Note de fin ci-dessous) qui ont contribué à des modifications du génome de COVID_19, mais aussi, très probablement beaucoup plus ancien du SRAS, avec peut-être ce double objectif de la conception des vaccins et de/ou des faits différenciant radicalement ces 2 séquences dont on prétend que la première (COVID-19) provient d’une évolution naturelle de la seconde (bat RaTG13).

Un livre sur cette manipulation génétique

L’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier

Voici un autre article de l’excellent France-Soir, qui presente le travail et le livre du Pr Tritto, confirmant les découvertes du Pr Luc Montagnier.

Publié le 13/08/2020, à lire ici https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-lorigine-du-virus-lanalyse-du-pr-tritto-confirme-celle-du-pr-montagnier

Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation que le virus était le résultat d’une manipulation humaine, et s’était échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.


Le livre du Pr Montagnier

Des virus et des hommes, chez Odile JacobFormat Kindle https://amzn.to/3pazsMR

Luc Montagnier est celui qui, avec son équipe de l’Institut Pasteur, a découvert en 1983 le virus responsable du sida. Il raconte son parcours de chercheur et retrace l’histoire de cette découverte. Il fait le point sur ce qu’on sait aujourd’hui du virus et de son origine, de la maladie et de ses mécanismes, de ses traitements. Il évoque ses recherches actuelles, ses espoirs, et livre ses réflexions sur l’effet qu’a eu l’épidémie de sida sur notre système de soins. Spécialiste des rétrovirus, directeur de recherche au CNRS et membre de l’Académie de médecine, Luc Montagnier dirige une unité de recherche à l’Institut Pasteur.

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