Ces chercheurs continuent à essayer de comprendre le fonctionnement du cancer, et ils semblent avoir découvert que c’est au niveau de l’oxygène, ou plutôt de sa forme, qu’une étape clé se trouve.
Le Dr Laurent Schwartz, comme aussi décrit dans mon livre, avait déjà découvert que dans la cigarette, le plus nocif n’était pas les goudrons mais le CO2 aspiré en quantité, produit par la combustion du tabac et du papier.
Apparemment, pour le cancer, on en revient encore à un problème de combustion, dans ce cas le manque de combustion du glucose dans les mitochondries à cause d’une d’oxygène inactive.
Il faudrait soutenir ces rares chercheurs qui trouvent, plutôt que de financer des chercheurs qui ont pour but de faire une carrière…
Voici sa dernière courte vidéo (https://youtu.be/J3bPQVRGrH0):
Dans mon livre j’ai essayé de résumer les méthodes et les découvertes du grand cancérologue Laurent Schwartz, en me référant à ses 3 livres suivants :
A plusieurs endroits dans mon livre je fais référence à ses écrits, mais aussi aux vidéos de ses conférences disponibles sur YouTube, comme celle-ci :
Voici une synthèse de cette conférence :
- Introduction : Le Dr Laurent Schwartz commence par discuter de la nature du cancer, le décrivant comme une maladie métabolique plutôt que génétique. Il souligne que le cancer est une maladie ancienne, présente même chez les dinosaures.
- Métabolisme du cancer : Il explique que les cellules cancéreuses ont un métabolisme différent des cellules normales. Elles dépendent principalement de la glycolyse anaérobie pour produire de l’énergie, même en présence d’oxygène (effet Warburg).
- Traitements métaboliques : Le Dr Schwartz discute de l’efficacité potentielle des traitements métaboliques pour le cancer, tels que le régime cétogène, qui limite l’apport en glucose, privant ainsi les cellules cancéreuses de leur principale source d’énergie. (On sait désormais que malheureusement les cellules cancéreuses peuvent aussi utiliser les corps cétoniques)
- Médicaments et molécules : Il mentionne plusieurs médicaments et molécules qui pourraient avoir un effet sur le métabolisme des cellules cancéreuses, tels que la metformine, le bleu de méthylène, l’acide alpha-lipoïque et d’autres.
- Questions du public : De nombreuses questions ont été posées par le public concernant les traitements métaboliques, la disponibilité des médicaments, les dosages, et d’autres sujets. Le Dr Schwartz souligne l’importance de la recherche scientifique et encourage les patients à s’informer et à s’organiser.
- Conclusion : Le Dr Schwartz conclu en soulignant l’importance de la collaboration entre les chercheurs, les médecins et les patients. Il évoque également la création d’une fondation pour soutenir la recherche sur le cancer en tant que maladie métabolique.
Dans mon livre
Voici un extrait du chapitre que je lui consacre concernant la guérison du cancer, c’est p 78-81 de la première partie de mon livre à partager avec vos contacts ou avec celles et ceux à qui vous souhaitez une « très bonne santé », disponible ici : https://tresbonnesante.fr/mon-livre/
En le lisant on comprend rapidement le génie de ce médecin, et l’abnégation et la persévérance qui l’ont guidé tout au long de sa vie, et qui lui ont permis de découvrir et de comprendre plusieurs points essentiels sur les causes des maladies de notre mode de vie moderne, comme les ravages du tabagisme ou le mode de développement des cancers.
Extrait de
‘Évitons 80% des maladies graves, ces médecins nous expliquent !‘
Partie 1/ Chapitre 5/ Cancer selon Dr Schwartz
Le docteur Laurent Schwartz (auteur du best-seller Cancer : un traitement simple et non toxique) a consacré sa vie à l’étude du cancer et au soin des malades, en France et aux États-Unis. Cancérologue de renom, formé à Strasbourg et à Harvard. Longtemps détaché à l’Ecole Polytechnique française, il a abandonné la pratique habituelle de cancérologie pour chercher un moyen plus efficace de lutter contre les cancers. Ses recherches l’ont conduit à constituer, au sein de l’École Polytechnique, un laboratoire pluridisciplinaire, rassemblant médecins, biologistes, chimistes, mathématiciens et physiciens.
Après des années de recherche sur cette maladie qui nous terrorise, le docteur Laurent Schwartz expose enfin ses conclusions au public. Préfacé par le professeur Luc Montagnier, il revient sur les premiers résultats encourageant de son traitement métabolique consistant à reprogrammer positivement les cellules cancéreuses plutôt que de les détruire systématiquement. On ne guérit pas plus du cancer aujourd’hui qu’il y a 30 ans, et on en meurt tout autant, et on voit une explosion globale du nombre des cancers, et la mortalité des jeunes
augmente.
Il a retenu la théorie de l’effet Warburg, du Prix Nobel de médecine Otto Warburg, comme processus du cancer, c’est la fermentation des cellules qui ne brûlent plus le sucre, dû à une inflammation intense, qui finit par provoquer un cancer. Il mentionne dans une des ses conférences, que dans le passé, les scientifiques, pour provoquer un cancer chez une souris, la frottait longtemps pour créer une forte inflammation, qui se transformait ensuite en cancer.
Il a essayé des centaines de molécules sur près de 20 000 souris, pour trouver une synergie de molécules simples qui puissent être efficace, car si une seule molécule suffisait, elle aurait déjà été trouvée.
Il ne semble pas connaître le travail du Dr Mathias Rath avec la Dre Alexandra Niedzwiecki, qui ont pris la même voie, mais ont cherché des synergies de plus de 2 molécules, en ajoutant tant que les résultats n’étaient pas satisfaisants.
Le Dr Schwartz explique aussi dans une conférence de 2019 à la cité des sciences de La Villette, qu’il ne connaît rien à la vitamine C, mais que par contre il a connu une malade dont il a pu vérifier la réalité du dossier, qui a été guérie avec des injections massives de vitamine C.
Il explique que le cytoplasme de la cellule est riche en potassium et pauvre en sodium, et l’influx nerveux se propage par un flux entrant de sodium et sortant de potassium… Est-ce pour cela qu’on va mieux en mangeant plus de végétaux, notamment grâce à l’apport en potassium ?
Finançant ses recherches contre le cancer avec les fonds récoltés par des contrats de recherche avec l’industrie du tabac, il a aussi découvert que dans le fait de fumer, le plus toxique n’était pas les goudrons du tabac, mais le CO2 avalé lors de l’aspiration !
En effet, comme le savent bien les écologistes, le CO2 est un gaz acidifiant, qui, dans le cas du tabagisme, agresse les alvéoles pulmonaires et acidifie l’eau de notre corps, comme il acidifie l’océan qui absorbe le CO2 de l’atmosphère. Ses travaux financés sur fonds propres, comme Matthias Rath et de nombreux autres scientifiques délaissés par les autorités, ont amené à des découvertes spectaculaires, puisque ses molécules simples permettent depuis 20 ans de ralentir, voir de stopper les cancers, avec souvent une rémission de plusieurs années.
Bien sûr, comme l’a montré l’étude de Lyon du Docteur de Lorgeril, la prévention des cancers passe par une alimentation de type méditerranéenne traditionnelle, et par un mode de vie adapté.
Il rappelle aussi que les cancers de la peau ne sont pas causés par les UV, puisqu’ils sont plus souvent situés au niveau de l’anus, qui voit bien peu le soleil chez la plupart des gens. Encore un mensonge des autorités médicales. Il y a par ailleurs de plus en plus de morts par mélanome malgré une illusoire protection par les crèmes solaires.
Le Docteur Schwartz donne l’exemple d’un de ses patient, Antonello, qui prend, en plus du traitement traditionnel, et associé avec un régime cétogène, riche en matières grasses, avec peu de protéines et pas de sucres, de l’acide lipoïque qu’il achète en Italie, car interdit en France, et de l’hydroxycitrate acheté en France. Dès le début du traitement, les métastases péritonéales régressent, lentement mais sûrement, et au bout de 6 mois un scanner confirme la régression des nodules. Il va bien trois ans après, il a repris le travail.
Il dit que des patients lui ont fait découvrir le ClO2, le dioxyde de chlore, qui ajoute une force de frappe supplémentaire en synergie avec les autres suppléments, qui permet même de faire régresser le cancer. Par contre il dit que l’effet diminue après 2 ou 3 ans… C’est peut-être parce que le dioxyde de chlore neutralise la vitamine C, ce qui empêche la fabrication de collagène et devient détrimental sur le long terme.
Il précise que techniquement et médicalement, ils sont totalement en dehors des clous avec ces méthodes non reconnues, mais qui sont pourtant les seules à fonctionner.
D’autres patients lui ont fait découvrir le bleu de méthylène comme complément qui a aussi de gros effets positifs chez certains patients. Pour de nombreux malades, la méthode Schwartz leur sauve la vie, alors cela vaut le coup de lire ses livres, en complément de l’adoption d’un mode de vie sain, comme décrit par le Docteur de Lorgeril bien sûr !
Fin de l’extrait.
Je vous conseille aussi la chaîne Youtube d’un de ses patients qui vient de s’auto-guérir d’un cancer qui aurait dû le tuer.
https://www.youtube.com/channel/UCMOIHULFsXxY3Is8zOsp-7A
Par contre la vitamine C liposomale qu’il conseille est très chère, et je préfère personnellement utiliser celle fabriquée par Sanus-Q ici.
Je vous souhaite une très bonne sante, et à bientôt :O) David Giquello