Cancer, voici ce que je mettrais en place pour guérir mon corps

Les informations qui suivent proviennent de la deuxième édition de mon livre “Évitons 80% des maladies graves: Ces médecins nous expliquent comment ! Broché – 26 janvier 2022“ https://amzn.to/3U4fSUW C’est un livre pour passer à l’action, qui oriente vers des médecins qui ont trouvé des solutions. (Si vous n’avez pas 20 € pour vous procurer la version papier ou 10 € pour la version Kindle, faites-le moi savoir et je vous enverrai le fichier PDF gratuitement.)

J’écris cet article car je suis régulièrement confronté à des personnes qui m’annoncent avoir ou connaître une personne qui a un cancer, et que n’ayant pas le droit ni la compétence de donner des conseils en matière de santé, je me sens triste pour eux, et je comprends que même avec mon livre sous la main il paraît difficile d’y trouver la motivation et la méthode à mettre en place, tellement les occidentaux sont ignorants des fonctionnements de base de leurs propres corps, et totalement mal informés sur le sujet..
Par exemple, la majorité des humains croient encore que les cancers arrivent par hasard et qu’ils sont une fatalité qui annonce douleurs et handicaps. C’est d’ailleurs à cause du discours médiatique sur le sujet, pour soutenir l’industrie médico-pharmaceutique et ses actionnaires millionnaires, au prix de la souffrance du reste de la population.

Les informations données par l’OMS, l’organisation mondiale de la santé, montrent bien que les autorités de santé savent que la majorité des cancers peuvent être évités. Par contre les intérêts privés qui manipulent les médias et les politiciens ne veulent pas que VOUS le sachiez.
Sur le site de l’OMS, cité page 60 de mon livre, on lit par exemple que le cancer est un terme appliqué à un grand groupe de maladies, ce n’est donc pas une maladie unique ni une cause unique. Et qu’un tiers au moins des cas de cancer sont évitables, rien qu’en arrêtant de fumer, en changeant d’alimentation, en ayant des activités physiques et en mangeant moins.
C’est en fait plutôt 80 à 90% des cancers qui sont évitables, comme les études l’ont montré, et vous pouvez le vérifier en prenant les références données dans mon livre.

D’ailleurs, page 62, j’ai repris une interview pour le magazine “Pour la science” du feu célèbre Dr Axel Kahn, qui était bien placé pour connaître le sujet des cancers, puisqu’il était Président de la Ligue Française contre le cancer, il dit : “des modifications du seul niveau d’expression des gènes sont incapables de provoquer un cancer. Il naît de conditions particulières, rayons ionisants, pollution, inflammation, etc…”. Et il ajoute plus loin que l’inflammation est le premier facteur de déclenchement du cancer, en deuxième c’est la modification du métabolisme, et le reste est dû au microbiote intestinal. Votre oncologue vous a-t-il fait part de ces faits connus de la Ligue contre le cancer ?
Selon cette figure publique de la lutte contre le cancer, il faut donc, pour lutter contre le cancer, réduire l’inflammation dans le corps, rétablir un bon métabolisme de l’organisme, et rééquilibrer son microbiote intestinal !! Et cela se fait donc logiquement en changeant d’alimentation, en pratiquant des activités physiques et en se protégeant des polluants présents dans l’air, l’eau et la nourriture.

Selon les succès obtenus par les médecins, et leurs études scientifiques, présentés dans mon livre, la majorité des cancers sont déclenchés par des dérèglements du fonctionnement cellulaire, causés par un mode de vie ou un environnement nocifs.
Selon ces médecins les cancers se développent principalement à cause d’une mauvaise alimentation chronique, souvent culturelle, d’une sédentarité quotidienne ou de polluants chimiques ou d’agents pathogènes biologiques. Certaines de ces influences s’impriment dans nos gènes et sont transmises aux générations suivantes, qui ainsi déclenchent des cancers de plus en plus jeunes. La partie de mon livre sur la prévention des cancers commence à la page 59 du livre broché.

Voici donc ce que je ferais personnellement, et les raisons de mes choix :

1- Je cesserais toutes les grandes causes d’acidification de mon corps par le CO2, c’est à dire le tabac, les boissons à bulles, les gaz d’échappement, et j’oxygènerais mon corps par la pratique d’activités physiques quotidiennes.
Le Dr Laurent Schwartz à découvert que le CO2 qu’on inhale lorsque l’on fume, issu de la combustion du tabac, est l’élément le plus toxique dans la cigarette, plus que les goudrons et les molécules toxiques produites. Le CO2 à un impact acidifiant sur l’eau, et notre corps étant composé majoritairement d’eau, notre corps est fortement acidifié par l’excès chronique de CO2, ce qui abaisse son pH et permet à de nombreux agents pathogènes de proliférer, et notamment aux cellules cancéreuses. L’acidité dissout aussi les structures minérales comme le calcium. Tous ces faits sont reconnus dans le cas de l’acidification problématique de l’eau des océans, mais personne ne parle de ce même effet qui se produit dans l’eau du corps humain. (Dr Laurent Schwartz, page 73, Dr Simonici page 84)

2- Je cesserais les boissons alcoolisées, en me limitant, si je ne pouvais pas m’en passer, à 1 verre de vin rouge en mangeant le midi. L’alcool est une fermentation de sucre qui cause une forte acidification de l’organisme qui détériore tous les organes, pas seulement le foie.

3- J’arrêterais de croire qu’une action simple et isolée, comme la prise d’une pilule ou d’une huile essentielle ou d’un supplément miracle pourrait me sauver définitivement du cancer. Le cancer se développe dans un milieu propice dégradé, et changer l’état du corps nécessite un travail de fond. Bien sûr, des médicaments, des molécules actives ou des suppléments peuvent aider à guérir du cancer, mais le plus important est de changer de mode de vie pour rendre son corps inadapté au développement des cellules cancéreuses.

4- J’adopterais le régime méditerranéen traditionnel, puisque dès les années 80, l’étude de Lyon de l’équipe du Dr De Lorgeril avait découvert que ce régime diminuait significativement l’occurrence des cancers. Ce régime alimentaire, appelé aussi régime Crétois, est riche en aliments qui ont des micronutriments essentiels, vitamines et minéraux, et riche en fibres qui permettent aux bonnes bactéries de se développer dans l’intestin, ce qui renforce le bon microbiote et lutte contre l’inflammation.
Il s’agit de manger moins de produits animaux, viandes, charcuteries, et produits laitiers, et plus de produits végétaux crus ou cuits à la vapeur, fruits, légumes, légumineuses et céréales complètes (Dr De Lorgeril, page 43).
Rien que ce changement alimentaire est la base pour obtenir un corps sans inflammation et en bonne santé, car il augmente les bons aliments, fruits et légumes frais, fruits oléagineux, peu de cuisson destructrice, et écarte les aliments qui contiennent des molécules toxiques, comme les produits laitiers et céréaliers de l’agriculture intensive moderne. Les crétois n’avaient pas de vaches ni de champs de blé de part la topographie des côtes méditerranéennes où ils vivaient.

4- Lorsque je le pourrais je pousserais l’optimisation de mon régime alimentaire en passant au régime Seignalet, dit hypo-toxique, car il élimine encore plus d’aliments qui peuvent causer de l’inflammation chez certaines personnes (méthode Seignalet, page 167).

5- Je me mettrais à la pratique d’activités physiques quotidiennes, en suivant au minimum les recommandations de l’OMS sur le sujet (page 293), et j’irais vivre à la campagne, loin des pots d’échappement, des cheminées d’usines et des épandages de produits chimiques.

Maintenant que j’aurais établi les bases de mon nouveau mode de vie, l’éloignement des sources toxiques (le tabac, l’alcool, le CO2, le stress, la pollution), une alimentation anti-inflammatoire et probiotique (régime Crétois ou Seignalet), ainsi qu’une activité physique suffisante, je passerais à la prise de compléments alimentaires recommandés par ces médecins.

1- Le plus important, de très loin, puisque nécessaire aux tissus structurels de mon organisme, c’est l’ascorbate, l’acide ascorbique, la vitamine C, cette petite molécule que mon corps ne peut pas fabriquer et qui pourtant est un catalyseur nécessaire à la production de collagène par mes cellules. Et comme ce collagène est essentiel, notamment, pour maintenir mon système cardiovasculaire, ces millions de petits vaisseaux sanguins qui alimentent chacune de mes cellules, c’est le pilier du bon état de mon corps. Donc je prendrais de 1 à 3 grammes de vitamine C, sous la forme d’acide ascorbique, en comprimé ou en poudre chaque jour. (Pas en comprimés effervescents puisqu’ils produisent plein de bulles de CO2 acidifiant !)
Logiquement il y a plein de paragraphes de mon livre dédiés à ces 2 molécules cruciales pour mon corps, l’ascorbate et le collagène qu’elles seules permettent de fabriquer :
– Dr Rath et vitamine C, page 37
– Cancer et vitamine C, page 88
– Démences et vitamine C, page 119
– Diabète et vitamine C, page 146
– Vitamine C contre dépression, page 161
– Partie 3 du livre, Vitamine C et collagène, 70 pages sur leur importance, page 215

2- Je prendrais les suppléments recommandés par le Dr Rath et son équipe, qui ont mené des études sur ces suppléments et découvert qu’ils arrêtaient le développement des cellules cancéreuses (Dr Rath et Dre Niedzwiecki, page 63). Il s’agit de l’action synergétique de :
– Production de tissu conjonctif : vitamine C, Lysine, Proline, cuivre, manganèse
– Inhibiteurs de dégradation : NAC (N-acétylcystéine), thé vert, sélénium
– Facteurs tuant les cellules cancéreuses : arginine
Pour les dosages exactes de ces compléments alimentaires bon marché, le livre en français des solutions contre les cancers découvertes par cette équipe de chercheurs en Allemagne, est à télécharger gratuitement sur leur site de la Fondation Rath : www.dr-rath-foundation.org/2018/08/victory-over-cancer

Voilà donc le programme de base que je mettrais en place immédiatement si j’étais diagnostiqué comme ayant un cancer, en plus des recommandations de mon médecin spécialiste. C’est d’ailleurs un mode de vie que j’essaye de maintenir au quotidien depuis que j’ai découvert ces informations, pour éviter de développer un cancer, car je crois en la prévention comme meilleur moyen de ne pas tomber malade, de donner à mon corps ce qui lui convient, et d’éviter les comportements toxiques proposés par la culture locale humaines, comme l’apéro ou la fumette ou l’oisiveté et l’abondance quotidienne de produits animaux et industriels… Aux bons entendeurs le salut est à portée !

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Le Dr Schwartz contre le cancer

Le Dr Laurent Schwartz est un oncologue renommé qui a consacré sa vie à l’étude du cancer et au soin des malades en France et aux États-Unis. Formé à Strasbourg et à Harvard, il a longtemps été attaché à l’École Polytechnique française. Voici une présentation de ses travaux et de ses découvertes basée sur les informations fournies sur le site web mentionné :

  • Nature du Cancer : Le Dr Schwartz considère le cancer comme une maladie métabolique plutôt que génétique. Il a découvert que le problème majeur du cancer est lié à un manque de combustion du glucose dans les mitochondries à cause d’une forme d’oxygène inactive.
  • Recherches sur le Cancer : Ses recherches l’ont amené à créer un laboratoire pluridisciplinaire au sein de l’École Polytechnique, rassemblant médecins, biologistes, chimistes, mathématiciens et physiciens. Il a étudié l’effet Warburg, un processus du cancer où les cellules fermentent et ne brûlent plus le sucre à cause d’une inflammation intense.
  • Traitements Métaboliques : Le Dr Schwartz a exploré l’efficacité potentielle des traitements métaboliques pour le cancer, tels que le régime cétogène. Il a également étudié l’efficacité de diverses molécules, dont la metformine, le bleu de méthylène et l’acide alpha-lipoïque.
  • Découvertes : Finançant ses recherches avec des fonds propres, il a fait des découvertes spectaculaires. Ses molécules simples ont permis de ralentir, voire de stopper, les cancers, avec souvent une rémission de plusieurs années.
  • Publications : Le Dr Schwartz a écrit plusieurs livres sur le cancer, dont « Cancer, un traitement simple et non toxique ». Il a également exposé ses conclusions au public, préfacé par le professeur Luc Montagnier.
  • Autres Informations : Le Dr Schwartz a également découvert que le CO2 inhalé lors de la combustion du tabac et du papier est plus nocif que les goudrons du tabac. Il a également mentionné l’importance de l’alimentation méditerranéenne traditionnelle dans la prévention des cancers.

Il est clair que le Dr Schwartz est un pionnier dans le domaine de la recherche sur le cancer, cherchant constamment des méthodes innovantes pour traiter cette maladie redoutable.

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Faisons le point sur les 2 types principaux de pityriasis

Le pityriasis est un terme qui désigne plusieurs affections de la peau. Il existe plusieurs types de pityriasis, dont le pityriasis rosé de Gibert et le pityriasis versicolor.

1 – Le pityriasis rosé de Gibert

Le pityriasis rosé de Gibert est une maladie virale bénigne de la peau qui se manifeste par une éruption cutanée de plaques ovalaires de couleur rose ou rouge pâle. Les symptômes comprennent des taches rouges surélevées, de forme ovale et squameuses, des démangeaisons légères, de la fatigue, de la fièvre, des maux de tête et des maux de gorge3. Cette maladie se résout généralement d’elle-même en 6 à 8 semaines.

Comment s’attrape le pityriasis rosé ?

Comme il s’agit d’un virus de la famille des herpès virus humains 6 ou 7, c’est le même principe que les virus responsables des rhumes. La transmission se fait principalement par voie aéroportée (postillons) mais elle peut aussi être manuportée. Le pityriasis rosé de Gibert est donc une maladie virale contagieuse.

Combien de temps faut-il pour que le pityriasis rosé disparaisse ?

Le pityriasis rosé disparaît généralement de lui-même sans traitement en 4 à 10 semaines. Si l’éruption cutanée ne disparaît pas d’ici là ou si les démangeaisons vous dérangent, discutez des traitements avec votre fournisseur de soins de santé. La maladie disparaît sans laisser de cicatrices et ne réapparaît généralement pas.

Cependant, dans certains cas, des antihistaminiques peuvent être prescrits par le médecin pour atténuer les démangeaisons.

Source partielle : Wikipédia « Pityriasis rosé de Gibert »

2 – Le pityriasis versicolor

Le pityriasis versicolor est une infection mycosique de la couche la plus superficielle de la peau, qui entraîne la formation de taches squameuses et dépigmentées, due à une levure appelée Malassezia, faisant partie de la flore normale de tout être humain.

L’infection causée par le champignon Malassezia furfur est relativement fréquente, surtout chez les jeunes adultes. Malassezia furfur est un type de champignon qui peut se présenter sous forme de levure ou de moisissure. Ces termes décrivent l’apparence du champignon observée au microscope.

Normalement inoffensif, Malassezia furfur vit sur la peau, mais chez certaines personnes, il peut provoquer un pityriasis versicolor. La plupart des personnes touchées sont en bonne santé, bien que certaines puissent avoir une prédisposition génétique à une prolifération du champignon.

D’autres facteurs de risque du pityriasis versicolor comprennent la chaleur et l’humidité, ainsi qu’une affaiblissement du système immunitaire lié à la prise de corticoïdes, à la grossesse, à la dénutrition, au diabète ou à d’autres troubles.

Il convient de noter que le pityriasis versicolor est une infection bénigne et n’est pas considéré comme contagieux.

Comment reconnaître un pityriasis versicolor ?

Le pityriasis versicolor est une infection de la peau due à Malassezia furfur qui se manifeste par de multiples plaques squameuses, asymptomatiques, de couleur allant de blanches à brunes à roses. 

Le diagnostic repose sur l’aspect clinique et les montages humides à l’hydroxyde de potassium des grattages cutanés.

Traitement du pityriasis versicolor

Les médicaments antimycosiques peuvent être administrés soit par voie cutanée, soit par voie orale.

Les traitements topiques, qui sont appliqués directement sur la zone affectée, sont efficaces pour traiter le pityriasis versicolor.

Par exemple, un shampooing à base de sulfure de sélénium sur ordonnance peut être efficace s’il est appliqué sur la zone affectée (et non seulement sur le cuir chevelu) pendant 10 minutes par jour pendant une semaine, ou pendant 24 heures une fois par semaine pendant un mois.

D’autres options de traitement comprennent l’application quotidienne de kétoconazole topique pendant deux semaines, des bains avec un savon enrichi en pyrithione de zinc, ou l’utilisation d’un shampooing à base de sulfate-acide salicylique sur la peau pendant une à deux semaines.

Certains médicaments antimycosiques peuvent également être appliqués localement sur la peau.

Dans les cas d’infections très répandues ou fréquentes, il peut être nécessaire d’administrer des médicaments antimycosiques par voie orale, tels que le fluconazole.

Pour prévenir les récidives de l’infection, de nombreux médecins recommandent de maintenir une hygiène rigoureuse et d’utiliser régulièrement un savon à base de pyrithione de zinc, ou l’un des autres traitements locaux, chaque mois.

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Maladie de Dupuytren, comment j’ai été guéri sans chirurgie

Voici mon témoignage, car en parlant des bienfaits que j’avais reçu en commençant à prendre de grosses doses de vitamine C en 2002, je me suis rappelé, qu’en plus de la disparition définitive des hémorroïdes, mon début de problème aux doigts, qu’on appelle la maladie de Dupuytren avait rapidement disparu.

J’avais alors environ 30 ans, et je voyais déjà une boule qui se formait dans chacune de mes mains et la peau qui se rétractait au niveau de mes annulaires. Mon père en avait souffert à peu près au même âge, et avait dû subir des opérations chirurgicales quand plusieurs de ses doigts étaient très endommagés après plusieurs années de gêne. Je me voyais donc condamné, comme lui et des millions de personnes, à devoir bientôt suivre le même destin.

Quelle chance d’avoir découvert ces informations sur les bienfaits des grosses doses d’ascorbate, et surtout quelle chance d’avoir essayé ce protocole, la thérapie Linus Pauling, inventée par le Dr Matthias Rath et le Pr Linus Pauling, pour guérir les maladies cardiovasculaires, et qui en fait permet aussi d’éviter tous les problèmes d’articulations, de tendons, des os, et de tous les nombreux tissus biologiques basés sur le collagène.

Car en fait la vitamine C est essentielle à la production de collagène par le corps, et il faut la prendre en doses suffisantes, surtout si on a eu une alimentation moderne pendant des années, voir des décennies, avec juste assez d’ascorbate pour ne pas mourir !

Il suffit de 10 mg par jour pour ne pas mourir du stade final du manque de vitamine C, qu’on appelle le scorbut, et dont les marins mourraient avant la découverte de son rôle vital. L’OMS recommandait 60 mg par jour par la passé, aujourd’hui ils sont montés à 110 mg, mais c’est encore bien loin des doses testées et pratiquées par les dizaines de millions de personnes qui suivent la thérapie Pauling-Rath, et qui prennent, comme je le fais depuis plus de 20 ans maintenant, au moins 1 gramme par jour (1 000 mg), et plus souvent 3 à 6 grammes d’acide ascorbique par jour.

Les tendons, comme les os, les fascias et la peau, sont structurés par du collagène. Un manque de vitamine C empêche le maintien en bon état de ces tissus, ce qui produit une déformation progressive !

Quand mon système immunitaire est affaibli ou dépassé par une infection, je peux alors prendre des dizaines de grammes par jour, et ainsi guérir rapidement. Il m’est arrivé de nombreuses fois de finir une boîte de 30 comprimés de 1 000 mg d’acide ascorbique, ou 1 bouteille entière de la vitamine Liposomique de Sanus-Q dans la journée. Il n’y a pas de doses dangereuses de vitamine C, l’excès est évacué dans les urines sans effort.

Voilà donc un autre problème de santé (pourtant annoncé comme « de cause inconnue » par les charlatans) lié à la quantité de collagène disponible pour maintenir en bonne santé et réparer les tissus structurels de nos corps. Je suis témoin que cela m’a évité de longues souffrances et des interventions chirurgicales, et rien que pour mon cas, en prenant des suppléments de vitamine C quotidiens, j’ai fais économiser des dizaines de milliers, voir des centaines de milliers d’euros de frais médicaux à la collectivité durant ces 20 dernières années !

L’acide ascorbique, l’ascorbate, s’avère être la plus importante molécule nécessaire au maintien structurelle de nos organismes, et elle est si bon marché à produire et sans risque de surdosage, qu’inciter les gens à en prendre de belles doses chaque jour et la rembourser, ferait économiser des dizaines de milliards d’euros chaque année aux systèmes d’assurance maladie !

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