Le Dr. Thomas Levy au 35ème congrès annuel de l’arbre de vie contre le cancer
( Annual Tree of Life Cancer Convention),
sur la découverte de l’efficacité de la vitamine C encapsulée dans les liposomes.
Une partie de cette conférence avec le Dr Levy sur Youtube
Transcription et traduction
Le présentateur:
C’est mon plaisir de vous avoir à la 35 ème convention annuelle de la Société pour le Contrôle du Cancer, en Californie.
Depuis de longues années le Dr Levy a été impliqué dans la recherche sur la vitamine C, il a aussi effectué des travaux spécialisés en cardiologie, donc il est particulièrement qualifié pour parler sur la vitamine C pour le cœur, le cancer et les maladies infectieuses.
Dr Levy c’est certainement un plaisr de vous avoir avec nous.
(Cette vidéo est faite d’extraits provenant de la vidéo complète, on passe donc d’un sujet à un autre sans transitions)
Le Dr Levy (00:30) :
Les perfusions de vitamine C (intraveineuses) et les autres formes de vitamine C utilisées, elles neutraliseront les piqûres de serpents, elles neutraliseront les insecticides organo-phosphatés, tous les différents métaux lourds.
(00:50) : Au meilleur de ma connaissance, il n’y a pas du tout besoin de ce qu’on appelle une antidote, autre que la vitamine C.
(00:57) : Il y a une nouvelle préparation de vitamine C, que j’ai nommée, c’est la vitamine C encapsulée dans des liposomes (Vitamine C Liposomique).
(01:05) : Je vous invite à l’examiner par vous même. J’ai trouvé constamment durant l’année et demie passée, que 5 ou 6 grammes de vitamine C liposomique, est plus efficace cliniquement, en réalité beaucoup plus efficace , donc plus efficace cliniquement que 50 grammes de vitamine C en intraveineuse.
(01:28) : La vitamine C en intraveineuse est vastement mieux que toute autre forme de vitamine C orale standard. Vous avez donc ce classement.
Pourquoi est-ce ainsi ?
Et bien si vous obtenez presque 100% d’absorption des liposomes, ce que nous avons montré être vrai, vous avez 5 grammes dans le sang.
(01:45) : Si vous prenez une perfusion de 50 grammes, vous obtenez 50 grammes dans le sang. Dix fois plus.
(01:52) : Mais j’ai trouvé que cette liposomale est cliniquement supérieure.
(01:56) : Et par le même procédé la liposomale obtient presque 100% d’absorption dans le sang, les liposomes circulant dans le sang délivrent la vitamine C intracellulairement !
(02:11) : Et bien sûr votre cible biologique ultime est à l’intérieur des cellules qui sont les plus affectées, dans votre cancer, dans votre maladie cardiaque, étant attaquées par vos toxines.
(02:25) : C’est l’idée de baigner dans quelque chose, contre celle de l’avoir à l’intérieur de vous.
Pourquoi le Dr Thomas Levy utilise la Vitamine C liposomique ?
Selon le Dr Thomas Levy, l’un des plus grands spécialistes de la vitamine C, le stress oxydatif au niveau cellulaire est la cause sous-jacente de pratiquement toutes les maladies chroniques dégénératives qui nous affectent. Et si vous pouvez identifier la cause principale de ce stress – qu’il provienne de pathogènes ou d’une exposition aux toxines – et rétablir la capacité antioxydante de vos tissus, vous pouvez remédier à la majorité des maladies.
Dr Levy pense que la vitamine C est extrêmement puissante contre les maladies infectieuses et chroniques. Il a insisté à de maintes reprises sur le fait que la carence chronique en vitamine C est bien souvent la principale raison pour laquelle nous contractons plusieurs maladies infectieuses courantes. Il insiste également sur le fait que l’usage de doses plus élevées et optimales de vitamine C devrait être reconnu par la médecine traditionnelle et qu’il pourrait s’agir d’une étape importante pour la réduction significative de l’usage de plusieurs antibiotiques et autres médicaments.
Vitamine C : Un puissant outil de maintien de la santé globale
- Agit comme puissant antioxydant, puisqu’elle peut donner des électrons afin de neutraliser les radicaux libres qui créent des dommages oxydatifs dans les cellules et tissus.
- Agit comme antibiotique, puisqu’elle accroît la production ainsi que l’activité des globules blancs et anticorps.
- Agit comme antiviral, prévenant la réplication virale dans les cellules.
- Agit comme ingrédient crucial pour la synthèse et la réparation du collagène. Le collagène est la principale protéine structurelle du corps qui fournit force et intégrité à divers tissus conjonctifs, tels que la peau, les nerfs, les muscles, les ligaments, les tendons, les vaisseaux sanguins, le cœur, les yeux, les cheveux et les dents.
- Accroît la biodisponibilité d’autres nutriments, tels que le fer et la vitamine E.
Bienfaits pour la santé de la vitamine C
- Prévient le scorbut, un problème de santé qui se caractérise par la désintégration graduelle du corps en raison d’un manque de collagène.
- Favorise la croissance et la réparation des tissus.
- Renforce et active le système immunitaire.
- Désactive les infections bactériennes et virales.
- Améliore la santé et les fonctions cardiovasculaires.
- Fournit force et intégrité aux artères, les rendant ainsi moins susceptibles de développer de l’athérosclérose (formation de plaque ou de dépôts graisseux).
- Renverse le durcissement des artères.
- Soutient et améliore la santé de la peau, des os, des articulations et des muscles.
- Contrôle l’inflammation systémique, diminuant ainsi le risque de maladies dégénératives chroniques.
- Réduit les dommages cellulaires (ADN et autres sous-structures) causés par l’exposition à la radiation ionisante.
- Débarrasse le corps de ses métaux lourds toxiques, dont le mercure, en le détoxiquant.
- Prévient le vieillissement prématuré au niveau cellulaire
Doses élevées de vitamine C
Les humains ne peuvent produire leur propre vitamine C et ont besoin d’un apport régulier à partir de la nourriture et suppléments. Bien que de faibles doses, que l’on peut obtenir à partir d’aliments riches en vitamine C ou de suppléments, suffisent pour maintenir une bonne santé, prévenir le scorbut et répondre aux besoins métaboliques du corps, c’est de doses élevées et optimales dont on a besoin pour prévenir et traiter les maladies chroniques – incluant les maladies cardiaques, le cancer, les infections chroniques et l’exposition dangereuse à des toxines.
Des études indiquent que de fortes doses de vitamine C aident à éliminer les cellules cancéreuses, tout en gardant intactes les cellules saines. [1] Dans une autre étude, les scientifiques ont découvert que l’administration de doses élevées de vitamine C a pour résultat de rendre les cellules cancéreuses plus vulnérables aux effets de la chimiothérapie et de la radiation. Les chercheurs ont démontré que des doses pharmacologiques de vitamine C sont non toxiques et bien tolérées; elles pourraient même améliorer les résultats du traitement lorsque combinées à la radio-chimiothérapie standard. [2]
Plusieurs spécialistes de la santé, dont Dr Levy, croient que si votre apport en vitamine C ne vous donne aucun résultat, c’est que vous n’en prenez pas suffisamment. C’est là que la technologie liposomique entre en jeu.
La technologie liposomique est en train de rapidement s’imposer en tant que puissant mécanisme d’administration permettant de rendre la vitamine C et autre nutriments plus accessibles aux structures cellulaires et tissulaires, offrant ainsi de meilleurs résultats que les suppléments oraux de vitamine C et parfois même meilleurs que par voie intraveineuse.
Technologie liposomique : Système d’administration de médicament/nutriment unique et plus efficace
La technologie liposomique utilise les liposomes en tant que transporteurs uniques qui peuvent porter une large variété de nutriments et médicaments vers les sites corporels qui, autrement, ne sont pas efficacement accessibles, et ce, même avec l’administration intraveineuse. Ces substances peuvent être des enzymes, des médicaments anti-cancer ou tout un éventail de vitamines, telles que la vitamine C, la vitamine D, les vitamines B, la CoQ10 et plusieurs autres suppléments nutritionnels.
Pour bien comprendre ce que sont les liposomes et ce qu’ils font, nous devons d’abord souligner un facteur d’une extrême importance pour tirer le maximum de bienfaits de tout médicament ou supplément nutritionnel. Ce facteur est connu sous le nom de « biodisponibilité ».
Qu’est-ce que la biodisponibilité et pourquoi est-ce important?
La biodisponibilité est le degré de disponibilité d’un nutriment ou d’un médicament pour une cellule cible dans le corps – à la fois pour l’absorption et pour l’utilisation métabolique. Si un ingrédient n’est pas pleinement utilisé (absorbé et métabolisé), il ne sera pas bénéfique pour votre santé.
Encore une fois, la biodisponibilité dépend de nombreux facteurs. Les médicaments oraux doivent survivre au rude environnement gastro-intestinal, au métabolisme sanguin et au métabolisme hépatique. Ces médicaments peuvent être complètement ou partiellement détruits dans l’environnement acide de l’estomac et par les enzymes digestifs, ce qui résulte en une faible biodisponibilité et un faible taux d’absorption.
De plus, les médicaments ou nutriments qui ne sont pas hydrosolubles, comme par exemple la vitamine C, peuvent ne pas efficacement pénétrer les membranes cellulaires, qui sont essentiellement composées de gras. Il existe de nombreux autres facteurs pouvant affecter la biodisponibilité d’un médicament ou d’un nutriment – dont l’âge, l’état de santé du tube digestif, la santé hépatique, la formulation du médicament (oral, comprimé, liquide ou liposomique), les interactions avec des aliments ou autres médicaments, etc.
Donc, pour qu’un nutriment puisse être utilisable et bio-disponible, il est important qu’il atteigne les endroits où il sera le mieux utilisé (que ce soit de façon intracellulaire, extracellulaire, ou les deux). Un système d’administration des médicaments qui peut aider à transporter les substances nécessaires jusqu’aux espaces cellulaires souhaités ou les sites moléculaires cibles sans que cela soit énergétiquement demandant est considéré comme étant le système le plus efficace. Et c’est essentiellement ce que font les liposomes.
Que sont les liposomes?
Les liposomes sont de petites bulles faites de phospholipides, qui sont essentiellement le même type de gras que celui qui constitue nos membranes cellulaires. C’est précisément la structure des phospholipides qui est la clé du fonctionnement des liposomes, qui agissent comme systèmes hautement efficaces d’administration de nutriments et de médicaments.
Une molécule de phospholipides est faite d’une tête (un ensemble de phosphates) et d’une queue (2 chaines d’acides gras), unis par une molécule de glycérol. La tête phosphatique est attirée par l’eau (hydrophile), alors que la queue d’acides gras est repoussée par l’eau (hydrophobe).
Lorsque vous mettez un liposome dans une solution aqueuse, les molécules de phospholipides s’alignent de manière à ce que la tête hydrophile se dirige vers l’eau et que la queue hydrophobe s’en éloigne. Cette organisation fait en sorte que la tête se tourne vers l’extérieur (atteignant ainsi le liquide) et la queue, vers l’intérieur (se cachant ainsi du liquide). Cet assemblage naturel de phospholipides donne lieu à des structures fermées, dans lesquelles un noyau creux est enveloppé par une membrane à double couches. Ces petites structures sphériques à revêtement double sont appelées liposomes.
Les liposomes peuvent être remplis de médicaments ou de nutriments, et ces ingrédients encapsulés sont ensuite transportés et administrés à des cellules cibles dans le corps. Les liposomes font beaucoup lors de ce transport jusqu’à l’administration aux sites souhaités. Ils protègent les nutriments contre leur dégradation inévitable dans le tube digestif. Par conséquent, le contenu est directement transporté dans le flux sanguin et administré aux cellules. Les protègent également les substances qui y sont contenues contre les radicaux libres.
Lorsque vous introduisez des nutriments hydrosolubles, tels que la vitamine C, dans une matrice liposoluble (comme par exemple les membranes cellulaires), des soucis d’absorption et d’utilisation desdits nutriments s’ensuivent nécessairement. Puisque les liposomes sont essentiellement faits de du même type de gras que celui dont sont faites nos membranes cellulaires, les liposomes traversent rapidement et facilement la barrière membranaire, et ce, sans avoir besoin d’énormes quantités d’énergie. Il s’agit d’une condition nécessaire pour qu’un nutriment ou médicament puissent être bio-disponible et utilisable. Tous ces facteurs font de l’encapsulation liposomique une méthode supérieure d’administration de la vitamine C directement dans les espaces intracellulaires, où elle agira aux meilleures de ses capacités.
Bien qu’il existe une certaine ambiguïté quant à l’efficacité de la vitamine C liposomique par rapport aux procédures intraveineuses, une chose est sûre : l’approche liposomique est non seulement pratique, mais elle est également moins invasive et beaucoup moins coûteuse que la vitamine C intraveineuse, qui ne peut être administrée que dans les hôpitaux et les cliniques spécialisées, sous la supervision d’un professionnel de la santé qualifié.
Bienfaits de la vitamine C liposomique
L’encapsulation liposomique accroît de manière exponentielle la biodisponibilité de la vitamine C et fournit même des bienfaits supplémentaires.
- Empêche la vitamine C d’être détruite dans le tube digestif.
- Dirige directement la vitamine C jusqu’aux cellules et leurs sous-structures, pour une meilleure absorption et utilisation.
- Maintient un haut taux de vitamine C dans le sang, sans causer de ballonnement, de diarrhée et autres symptômes d’irritation gastro-intestinale.
- Protège la vitamine C encapsulée contre les radicaux libres.
- Offre un degré d’absorption similaire à celui de la vitamine C administrée par intraveineuse.
- Une manière bien plus pratique que l’intraveineuse d’atteindre un plus haut taux de vitamine C dans les cellules
Les suppléments oraux de vitamine C, qu’il s’agisse de comprimés, de pilules ou de poudre, ne sont pas efficacement traités et absorbés par le corps. De plus, la majeure partie de la vitamine C obtenue de cette manière est éliminée dans l’urine. Pour être dans une santé optimale et pour éloigner les maladies, il est important de s’assurer de prendre de la vitamine C en dosage bien plus élevé que ce qui est généralement recommandé. La prise régulière de doses élevées de suppléments oraux de vitamine C est susceptible de vous causer des troubles gastriques, dont des gaz, des crampes abdominales et la diarrhée. Quoi de mieux pour accroître votre taux de vitamine C cellulaire que d’utiliser de la vitamine C liposomique? Une stratégie d’administration de nutriments qui permet une meilleure absorption et une plus grande biodisponibilité.
Références :
- Garry R. Buettner et al. Tumor cells have decreased ability to metabolize H2O2: Implications for pharmacological ascorbate in cancer therapy. Redox Biol. 2016.
- Schoenfeld et al. O2⋅− and H2O2-Mediated Disruption of Fe Metabolism Causes the Differential Susceptibility of NSCLC and GBM Cancer Cells to Pharmacological Ascorbate. Cancer Cell. 2017.
Nouvelle traduction de conférence du Dr Lévy
Voici 80 points résumés provenant de la vidéo intitulée « Applications de la vitamine C, théorique et pratique par le Dr Thomas Levy », qui a été mise en ligne par la chaîne « Homer Lim » le 11 juillet 2017. La vidéo a recueilli 127 794 vues à ce jour.
La vidéo traite des diverses applications et avantages de la vitamine C.
Le Dr Thomas Levy est un spécialiste de l’administration de méga-doses de vitamine C, l’ascorbate, mondialement reconnu depuis plusieurs décennies, et lui et ses collègues qui utilisent les mêmes doses de vitamine C ont sauvé des dizaines de milliers de vie depuis !
En voici les points clés :
1. Introduction : Le Dr Thomas Levy commence par déclarer que cette présentation est la troisième de ses quatre présentations. Il mentionne le défi de diriger le contenu, en particulier lorsqu’il discute des capacités de la vitamine C.
2. Idées fausses sur la vitamine C : Il répond à une idée fausse commune selon laquelle il a été démontré que la vitamine C ne fait que prévenir ou inverser le scorbut. Il trouve cette affirmation profondément incorrecte, soulignant que la vitamine C est sans doute la substance la plus étudiée avec de nombreux articles dans PubMed au cours des 70-80 dernières années.
3. Références de recherche : Le Dr Levy souligne que bon nombre des références qu’il mentionne se trouvent sur PubMed. Il mentionne également des références plus anciennes qui ne sont peut-être pas sur PubMed, mais qui peuvent être trouvées dans des articles originaux écrits par le Dr Frederick Klenner.
4. Contribution du Dr Frederick Klenner : Le Dr Levy tient le Dr Klenner en haute estime, affirmant que bien que Linus Pauling soit souvent associé à la vitamine C, c’est le Dr Klenner qui a jeté les bases. Le Dr Klenner a écrit 28 articles différents documentant la capacité de la vitamine C à guérir de nombreuses maladies infectieuses et à neutraliser les toxines.
5. Capacités prouvées de la vitamine C : Le Dr Levy met l’accent sur ce dont la vitamine C a fait ses preuves, pas seulement suggéré ou soupçonné. Il mentionne qu’in vitro (dans le tube à essai), la vitamine C a été trouvée pour inactiver complètement le virus de la polio, le rendant non infectieux. Une activité similaire a été notée avec le virus de l’herpès.
6. Vitamine C et virus : Le Dr Levy explique comment il a été prouvé que la vitamine C inactive ou « met hors service » divers virus dans un tube à essai. Cela inclut le virus seniya, le virus de la mosaïque du tabac, les virus bactériophages, les entérovirus, le virus de la grippe et même le virus de la rage.
7. Le traitement de la poliomyélite par le Dr Klenner : L’une des réalisations les plus importantes du Dr Klenner, comme l’a souligné le Dr Levy, a été son traitement contre la poliomyélite. Au cours de l’épidémie de poliomyélite à la fin des années 1930 aux États-Unis, le Dr Klenner a traité 60 cas de poliomyélite avec de la vitamine C. Parmi ceux-ci, 57 ont été complètement guéris en trois jours, tandis que les trois autres ont nécessité deux jours de plus. Le Dr Levy souligne l’importance de cette situation en soulignant les effets dévastateurs de la poliomyélite et l’utilisation généralisée de poumons d’acier chez les patients dont les muscles respiratoires ont été touchés par la maladie. Malgré la présentation de ses conclusions à l’American Medical Association, le travail du Dr Klenner a été largement ignoré en faveur de discussions sur le poumon d’acier.
8. Vitamine C orale : Alors que le Dr Klenner préférait la vitamine C intramusculaire et intraveineuse, d’autres chercheurs au cours de la même période ont constaté que de nombreux syndromes pouvaient également être traités avec de plus fortes doses de vitamine C par voie orale. Il a été observé que la vitamine C pouvait accélérer la résolution de diverses maladies virales, réduisant à la fois la durée et l’intensité des symptômes.
9. Vitamine C et hépatite aiguë : Le Dr Levy partage son expérience personnelle en tant qu’interne et plus tard en tant que résident en médecine interne au Charity Hospital de la Nouvelle-Orléans. Il se souvient d’avoir vu de nombreux patients atteints d’hépatite aiguë et est étonné par l’idée que ces patients pourraient potentiellement être guéris en une semaine avec de la vitamine C, étant donné qu’ils sont généralement restés malades pendant des mois.
10. Vitamine C et hépatite aiguë : Le Dr Levy souligne l’efficacité de la vitamine C dans le traitement de l’hépatite aiguë. Il mentionne le Dr Cathcart, qui a traité de nombreux cas d’hépatite aiguë avec de fortes doses de vitamine C par voie orale.
11. Schéma posologique pour les syndromes viraux aigus : Le schéma posologique recommandé par le Dr Klenner pour les syndromes viraux aigus est décrit. Il a recommandé 500-700 mg de vitamine C intraveineuse par kilogramme de poids corporel toutes les 8-12 heures, complété par une forte dose orale.
12. Encéphalite virale : Le Dr Levy souligne le travail du Dr Klenner auprès de patients qui avaient évolué vers une encéphalite virale avancée, où les patients étaient déjà dans le coma. Même à ce stade avancé, le Dr Klenner a pu réanimer des patients en utilisant de la vitamine C, les patients reprenant conscience en quelques heures et sortant de l’hôpital en quelques jours.
13. Vidéo de 60 minutes en Nouvelle-Zélande : Le Dr Levy fait référence à une vidéo de l’émission 60 minutes de Nouvelle-Zélande de 2010 sur un agriculteur dans le coma en raison du virus H1N1. La famille a dû se battre légalement pour administrer de la vitamine C par voie intraveineuse au patient. Après avoir reçu le traitement à la vitamine C, le patient a montré une amélioration significative, ses poumons s’éclaircissant et le retrait de son tube d’intubation. Voir ma traduction ici https://tresbonnesante.fr/produits/fermier-sauve-vitamine-c-liposomique/
14. Controverse sur le dosage de la vitamine C : Le Dr Levy discute d’un cas où la dose de vitamine C d’un patient a été réduite de 50 grammes deux fois par jour à 1 gramme deux fois par jour, même après avoir montré une amélioration significative. Il critique la décision, suggérant que les motivations du médecin étaient discutables. Il insiste sur le fait que les médecins devraient gagner la confiance des patients plutôt que de s’y attendre par défaut.
15. Vitamine C et autres syndromes viraux aigus : Le Dr Levy mentionne qu’il a été prouvé que la vitamine C résout rapidement des affections comme la rougeole et les oreillons. Il souligne que même si ces maladies infantiles peuvent sembler sans conséquence, elles peuvent entraîner de graves complications, en particulier chez les enfants immunodéprimés. Il mentionne également que la vitamine C peut résoudre le virus de l’herpès et la rage dans ses stades aigus.
16. Vitamine C et bactéries : Bien que la vitamine C soit un « virucide absolu » (ce qui signifie qu’elle tue ou inactive tout virus qu’elle rencontre), elle a également des effets significatifs sur les bactéries. Elle peut souvent tuer les bactéries (effet bactéricide) ou au moins les empêcher de se développer (effet bactériostatique). En outre, il a été démontré que la vitamine C soutient et renforce le système immunitaire de diverses manières, aidant aux mécanismes de défense naturels du corps.
17. Biais dans la littérature médicale : Le Dr Levy aborde le biais dans la littérature médicale, où les chercheurs sous-estiment souvent les effets de la vitamine C. Même lorsqu’une étude montre des avantages profonds, les conclusions sont souvent édulcorées, ce qui suggère que des recherches supplémentaires sont nécessaires. Il critique cette approche, soulignant la nécessité de reconnaître et de promouvoir les avantages de la vitamine C.
18. Biais dans la littérature médicale : Le Dr Levy cite une étude publiée dans le New England Journal of Medicine dans laquelle huit jeunes patients atteints de rhumatisme articulaire aigu ont été traités avec de la vitamine C par voie orale. Le traitement a guéri la fièvre dans les huit cas. Cependant, la conclusion de l’étude a été édulcorée, soulignant le biais contre la reconnaissance des propriétés curatives de la vitamine C.
19. Vitamine C et autres infections : Le Dr Levy discute de l’efficacité de la vitamine C dans le traitement d’une gamme d’infections non virales. Il s’agit notamment du paludisme, de la lèpre, de la fièvre typhoïde, de la brucellose et de la trichinose. Il aborde également la tuberculose, expliquant comment la vitamine C peut aider à isoler l’infection, permettant aux patients de coexister avec elle sans morbidité ou mortalité significative.
20. La vitamine C comme antitoxine : Le Dr Levy souligne que la vitamine C est non seulement efficace contre les infections, mais agit également comme une antitoxine puissante. Elle a été documentée pour neutraliser un large éventail de toxines, y compris :
- Éléments toxiques : mercure, plomb, chrome, arsenic, cadmium, nickel, vanadium, aluminium et fluor.
- Venins : Le Dr Levy mentionne le cas du Dr Klenner où la vitamine C a été utilisée comme alternative à l’anti-venin.
21. Vitamine C et venin : Le Dr Levy raconte l’expérience du Dr Klenner avec un patient qui a été mordu par une créature venimeuse appelée « chenille de pus ». La tension artérielle du patient avait chuté de manière significative en raison du venin. Le Dr Klenner a administré de la vitamine C par voie intraveineuse, ce qui a rapidement neutralisé le venin et rétabli la tension artérielle du patient.
22. Vitamine C et intoxication : Le Dr Levy mentionne que la vitamine C peut aider à atténuer les effets de l’intoxication alcoolique, mais pas instantanément. Elle peut potentiellement aider les individus à récupérer plus rapidement des effets de l’alcool.
23. Vitamine C et autres toxines : Le Dr Levy discute de l’efficacité de la vitamine C dans la neutralisation de diverses toxines, notamment :
- Les barbituriques
- Les champignons toxiques, en particulier le champignon Amanita phalloides (chapeau mortuaire). Il raconte l’histoire d’un médecin français qui a consommé une dose mortelle de ces champignons lors d’une présentation et a ensuite utilisé la vitamine C comme remède.
- Pesticides : Le Dr Levy raconte une anecdote sur trois garçons qui ont été exposés à une forte dose de pesticides provenant d’un avion d’épandage des cultures. L’un des garçons a été traité par le Dr Klenner avec de la vitamine C et s’est rétabli rapidement, tandis que les deux autres, qui n’ont reçu que des soins de soutien, sont malheureusement décédés.
- Strychnine et tétanos : Le Dr Klenner a également traité un patient atteint de tétanos en utilisant de la vitamine C, en conjonction avec des antitoxines antitétaniques.
23. Infections chroniques : Le Dr Levy discute de l’efficacité de la vitamine C dans le traitement des infections chroniques comme la maladie de Lyme, le sida et l’hépatite chronique. Ces infections impliquent des agents pathogènes qui sont profondément ancrés dans les tissus, ce qui les rend plus difficiles à traiter. Bien que la vitamine C puisse ne pas fournir un soulagement immédiat comme dans le cas des infections aiguës, elle peut stimuler le système immunitaire et offrir des avantages significatifs au fil du temps.
24. Rhume et autres maladies : La vitamine C est efficace dans le traitement de conditions comme le rhume, la tuberculose et la coqueluche. La coqueluche, en particulier, est une préoccupation pour les parents de jeunes nourrissons, et la vitamine C peut offrir un soulagement en raison de ses propriétés antitoxines et anti-infectieuses.
25. Antibiotiques et vitamine C : Le Dr Levy précise qu’il n’est pas contre l’utilisation d’antibiotiques. En fait, il croit que les antibiotiques peuvent être bénéfiques lorsqu’ils sont utilisés de manière appropriée, et leur efficacité peut être améliorée lorsqu’ils sont combinés avec de la vitamine C.
26. Empoisonnement par rayonnement : Le Dr Levy aborde le sujet de l’empoisonnement par rayonnement, expliquant qu’il cause des dommages par oxydation rapide des biomolécules. La vitamine C, en tant qu’antioxydant, peut contrecarrer ces dommages à moins que l’exposition aux rayonnements ne soit trop accablante.
27. La vitamine C et le cancer : Le Dr Levy souligne les propriétés anticancéreuses de la vitamine C, tant in vitro (dans le tube à essai) qu’in vivo (dans le corps). Il fait référence à la clinique Riordan, qui a mené des recherches approfondies sur le rôle de la vitamine C dans le traitement du cancer.
28. Maladies dégénératives chroniques : Le Dr Levy explique que les maladies dégénératives chroniques sont causées par un stress oxydatif accru, qui consomme de la vitamine C et d’autres antioxydants. À mesure que la gravité de la maladie augmente, les taux plasmatiques de vitamine C diminuent.
29. La vitamine C et les maladies chroniques : Le Dr Levy cite des études qui ont montré une corrélation entre des taux plasmatiques plus élevés de vitamine C et une réduction de la mortalité par maladie cardiaque. De même, des niveaux plus élevés de vitamine C sont associés à un risque plus faible de développer le diabète et d’autres maladies dégénératives chroniques.
30. Démystifier les mythes sur la vitamine C : Le Dr Levy aborde les idées fausses courantes sur la vitamine C, en particulier la croyance qu’elle peut causer des calculs rénaux. Il fait référence à des études de Harvard qui n’ont trouvé aucune incidence accrue de calculs rénaux chez ceux qui prennent de la vitamine C. En fait, une autre étude a montré que ceux qui avaient l’apport le plus élevé en vitamine C avaient le risque le plus faible de calculs rénaux. Il souligne que bien que de nombreuses substances puissent se métaboliser en oxalate, c’est la combinaison de calcium et d’oxalate qui conduit à la formation du type le plus courant de calculs rénaux, l’oxalate de calcium.
31. Toxicité de l’eau par rapport à la vitamine C : Le Dr Levy fait une comparaison entre la toxicité de l’eau et celle de la vitamine C. Il souligne que bien qu’il soit possible de consommer une quantité mortelle d’eau, il n’y a pas de dosage toxique défini pour la vitamine C. Dans ce contexte, il soutient que l’eau est plus toxique que la vitamine C, soulignant l’importance de comprendre les substances en équilibre.
32. Facteurs médico-légaux : Le Dr Levy aborde les facteurs médico-légaux associés à la vitamine C ou à toute autre thérapie. Il fait allusion aux événements récents liés à la vitamine C et à la septicémie, suggérant qu’il est possible que la vitamine C soit plus reconnue dans la communauté médicale.
33. Considérations pratiques de la vitamine C : Le Dr Levy discute des aspects pratiques de la vitamine C, en mettant l’accent sur son abordabilité, son efficacité établie et son profil d’innocuité. Il souligne également sa capacité à améliorer la fonction immunitaire, la recherche montrant son impact sur divers aspects du système immunitaire.
34. Propriétés anti-pathogènes : Le Dr Levy se penche sur la réaction de Fenton, expliquant comment la vitamine C a des propriétés anti-pathogènes directes. Il décrit la chimie intracellulaire des agents pathogènes et des cellules cancéreuses, notant leur accumulation de fer et leur dépendance à celui-ci pour la prolifération. Il aborde également le rôle des antibiotiques, qui peuvent chélater le fer, empêchant ainsi les virus de proliférer.
35. La vitamine C et la réaction de Fenton : Le Dr Levy développe la réaction de Fenton, expliquant comment le fer et le peroxyde d’hydrogène à l’intérieur des cellules peuvent conduire à la formation de radicaux hydroxyles, qui sont hautement oxydatifs. Il décrit comment la vitamine C donne des électrons pour faciliter cette réaction, conduisant à un effet pro-oxydant qui peut rompre les cellules cancéreuses ou induire l’apoptose.
36. Défis liés à la promotion de la vitamine C : Le Dr Levy exprime sa frustration à l’égard de l’establishment médical, en particulier des oncologues et des pédiatres, qui résistent aux discussions sur les traitements alternatifs comme la vitamine C. Il souligne la nécessité d’une approche différente lorsqu’il préconise la vitamine C, compte tenu des défis posés par les personnes en position de pouvoir qui peuvent être résistantes au changement.
38. La vitamine C et les infections : Le Dr Levy souligne que toutes les infections consomment de la vitamine C rapidement et profondément. Il fait référence à une étude sur des patients septiques, notant que la plupart avaient des niveaux indétectables de vitamine C dans leur plasma. Il suggère une approche pratique pour les professionnels de la santé : plutôt que de plaider en faveur de la vitamine C comme remède, ils devraient se concentrer sur la carence identifiée en vitamine C chez les patients.
39. Promoteurs des maladies chroniques : Le Dr Levy énumère les facteurs qui favorisent les maladies chroniques, notamment les infections, l’exposition aux toxines, les métaux toxiques comme le fer, le calcium et le cuivre, l’exposition aux toxines alimentaires et les déséquilibres hormonaux. Il décrit les principes de traitement, soulignant l’importance de prévenir les toxines quotidiennes, de neutraliser les toxines existantes, de résoudre les infections, de compléter de manière optimale et de traiter les déséquilibres hormonaux.
40. Spécificités de la thérapie à la vitamine C : Le Dr Levy se penche sur les spécificités de la thérapie à la vitamine C. Il souligne l’importance d’atteindre des concentrations optimales de vitamine C dans chaque compartiment du corps. Les principaux facteurs de l’administration efficace de vitamine C comprennent la dose, la voie, le taux, la fréquence, la durée, le type et les traitements d’appoint. Il réitère l’importance de la dose, soulignant que c’est le facteur le plus crucial.
41. Toxines environnementales et vitamine C : Le Dr Levy souligne l’augmentation de l’exposition aux toxines environnementales au fil des ans, ce qui a entraîné un plus grand besoin de vitamine C pour lutter contre ces toxines. Il mentionne que la population actuelle pourrait avoir besoin de plus de vitamine C qu’à l’époque du Dr Klenner en raison de l’augmentation des toxines environnementales.
42. Approche de la thérapie à la vitamine C : Le Dr Levy déconseille d’être trop précis avec le dosage de la vitamine C. Au lieu de cela, il suggère de se concentrer sur les besoins de l’individu et d’ajuster la dose en conséquence. Il souligne que différentes personnes peuvent avoir besoin de doses différentes en fonction de leur équilibre redox unique et de leurs niveaux de toxines.
43. Considérations posologiques : Le Dr Levy fournit des conseils sur le dosage de la vitamine C intraveineuse en fonction du poids corporel. Il suggère qu’une dose typique pour la plupart des gens est d’environ 50 grammes, mais cela peut varier en fonction du poids de l’individu. Il souligne l’importance de considérer la dose relative en fonction du poids corporel, car une dose de 50 grammes aura un impact différent sur une personne de 45 kilos par rapport à une personne de 100 kilos.
44. Vitamine C par voie intraveineuse : Le Dr Levy discute des formes de vitamine C utilisées pour l’administration intraveineuse, y compris l’ascorbate de sodium et l’acide ascorbique tamponné. Il fournit des conseils sur la mise en mémoire tampon de la solution pour atteindre un pH proche de 7 pour le confort du patient.
45. Vitamine C intramusculaire : Le Dr Levy introduit le concept d’administration intramusculaire de vitamine C, une méthode utilisée par le Dr Klenner pour des affections comme la poliomyélite. Cette méthode offre une libération plus lente de la vitamine C, imitant une production continue de la vitamine, semblable à celle des autres animaux.
46. Vitamine C liposomale : Le Dr Levy fait l’éloge de la vitamine C encapsulée liposomale, partageant son expérience personnelle avec le produit. Il raconte comment, après avoir contracté la grippe et n’avoir pas eu accès à la vitamine C par voie intraveineuse, il a essayé la vitamine C liposomale. À sa grande surprise, après avoir pris seulement cinq grammes, il se sentait nettement mieux en une heure. Il souligne le mécanisme d’absorption unique de la vitamine C liposomale, qui contourne la limite typique de tolérance intestinale.
47. Expérience personnelle avec la vitamine C liposomale : Le Dr Levy partage une histoire sur son introduction à la vitamine C liposomale. Après avoir d’abord été sceptique, il a essayé le produit pendant un épisode de grippe et a connu un soulagement rapide. Cette expérience l’a convaincu de l’efficacité de la vitamine C liposomale, et il est depuis devenu un défenseur de son utilisation.
48. Vitamine C liposomale : Le Dr Levy approfondit le mécanisme de la vitamine C liposomale. Il explique que les liposomes sont de minuscules sphères (100 à 200 nanomètres) qui ressemblent à des cellules artificielles. Ils sont rapidement absorbés. Les liposomes offrent une biodisponibilité intracellulaire sans consommer d’énergie, ce qui est un avantage significatif par rapport à la vitamine C par voie intraveineuse.
49. Consommation d’énergie et vitamine C : Le Dr Levy compare la consommation d’énergie nécessaire pour que la vitamine C par voie intraveineuse pénètre dans les cellules à celle de la vitamine C liposomale. Alors que la vitamine C par voie intraveineuse nécessite que l’énergie soit activement transportée dans les cellules, la vitamine C liposomale est absorbée sans consommation d’énergie, ce qui la rend plus efficace.
50. Formation des liposomes : Le Dr Levy décrit la formation des liposomes. Lorsque le bon type de phospholipides est introduit dans l’eau, ils forment une boule et encapsulent ce qui est dissous dans l’eau, créant ainsi un liposome. Le principal constituant de ces liposomes est la phosphatidylcholine, qui a des propriétés antioxydantes et d’autres avantages pour la santé.
51. Liposomes et insuline : Le Dr Levy souligne le potentiel des liposomes dans l’administration de médicaments en discutant de l’insuline. En règle générale, l’insuline orale est décomposée dans le système digestif. Cependant, lorsque l’insuline est encapsulée dans des liposomes, elle peut être administrée intacte dans le corps, démontrant la capacité des liposomes à transporter de grosses molécules sans les décomposer.
52. Communication intercellulaire : Le Dr Levy se penche sur les mécanismes de la communication intercellulaire, expliquant comment le corps transporte naturellement les substances d’un point à un autre. Il discute des vésicules extracellulaires, qui sont des substances naturelles qui facilitent la communication entre les cellules. Ces vésicules, y compris les exosomes, les microvésicules, les corps apoptotiques et les liposomes, diffèrent principalement par leur taille.
53. Exosomes : Le Dr Levy décrit les exosomes comme de minuscules vésicules de 40 à 100 nanomètres de diamètre. Initialement considérées comme des « poubelles intracellulaires », elles sont maintenant considérées comme jouant un rôle crucial dans la communication de cellule à cellule.
54. Microvésicules et corps apoptotiques : Les microvésicules sont semblables aux exosomes, mais varient en taille, allant de 100 à 1 000 nanomètres de diamètre. Les corps apoptotiques se forment lorsque les cellules meurent et se condensent, encapsulant les débris cellulaires.
55. Liposomes : Le Dr Levy aborde les liposomes, qui peuvent ou non se produire naturellement. Ils remplissent des fonctions similaires à celles des autres vésicules, facilitant la communication intercellulaire.
56. Taux d’administration de vitamine C : La vitesse à laquelle la vitamine C est administrée peut influencer ses effets. Chez les patients gravement malades, une administration rapide peut sauver des vies. Le Dr Levy cite l’expérience du Dr Klenner avec un patient cyanotique et gravement empoisonné qui a montré une amélioration immédiate après avoir reçu une dose intraveineuse rapide de vitamine C.
57. Vitamine C, glucose et insuline : Le Dr Levy discute de la relation étroite entre la vitamine C et le glucose. Lorsqu’une forte dose de vitamine C est administrée rapidement, le corps peut la confondre avec du glucose, conduisant à la sécrétion d’insuline. Cela peut entraîner une absorption intracellulaire rapide de la vitamine C, le métabolisme du glucose circulant et une hypoglycémie potentiellement profonde. Il souligne l’importance d’être conscient de cette réaction potentielle, en particulier lors de l’administration rapide de vitamine C.
58. Durée du traitement à la vitamine C : Le Dr Levy souligne l’importance de poursuivre le traitement à la vitamine C même après que le patient semble s’être complètement rétabli d’une maladie infectieuse aiguë. Il met en garde contre l’arrêt prématuré du traitement, car cela peut entraîner une rechute qui pourrait être plus grave que l’infection initiale. Il recommande de continuer à recevoir de fortes doses de vitamine C pendant au moins 24 à 48 heures après que le patient semble s’être complètement rétabli.
59. Expérience personnelle avec les animaux : Le Dr Levy raconte l’histoire personnelle d’un petit chiot qui est apparu être près de la mort. Il a administré une dose importante de vitamine C liposomale au chiot, conduisant à un rétablissement rapide. Cependant, il n’a pas poursuivi le traitement à la vitamine C, ce qui a entraîné la rechute du chiot et sa mort. Cette expérience a renforcé l’importance de maintenir le traitement à la vitamine C.
60. Types de vitamine C : Le Dr Levy énumère diverses formes de vitamine C en fonction du cation avec lequel elles sont associées, telles que le sodium, le calcium, le magnésium, le potassium et autres. Il souligne que les effets thérapeutiques proviennent de la molécule d’ascorbate, quel que soit le cation avec lequel elle est associée.
61. Démystifier le mythe de la vitamine C sous forme naturelle : Le Dr Levy s’attaque à une idée fausse commune au sujet d’une « forme naturelle » de vitamine C. Il remet en question l’idée qu’il existe une forme unique de vitamine C dans les aliments qui est différente de l’ascorbate utilisé dans les suppléments. Il souligne que l’ascorbate est l’ascorbate, quelle que soit sa source, et critique ceux qui promeuvent ce mythe à des fins de marketing.
62. Acide ascorbique et vitamine C : Le Dr Levy répond à l’idée fausse selon laquelle l’acide ascorbique n’est pas de la vitamine C. Il souligne que l’acide ascorbique est en effet de la vitamine C et fait référence aux travaux du Dr Klenner, où il a utilisé l’acide ascorbique pour guérir diverses infections. Il souligne également que les animaux qui produisent de la vitamine C dans leur foie excrètent de l’acide ascorbique dans leur sang, et non un « complexe de vitamine C ».
63. Différentes formes de vitamine C : Le Dr Levy discute de diverses formes de vitamine C, comme l’ascorbate de sodium, l’ascorbate de calcium et l’ascorbate de potassium. Il souligne les différences entre ces formes et leurs avantages et inconvénients potentiels. Par exemple, il mentionne des préoccupations au sujet de la surcharge en sodium avec l’ascorbate de sodium, mais précise que le sodium ne provoque pas d’expansion volumique ; le chlorure de sodium le fait.
64. Ascorbate de calcium : Le Dr Levy revient sur le sujet de l’ascorbate de calcium, en mettant l’accent sur les effets toxiques potentiels d’un apport excessif en calcium. Il fait la différence entre l’administration à court terme de calcium, qui peut avoir des avantages, et la consommation à long terme, qui peut être toxique.
65. Ascorbate de potassium : Le Dr Levy déconseille l’utilisation de l’ascorbate de potassium en raison des dangers potentiels d’une surdose de potassium, qui peut être fatale. Il souligne l’importance d’être prudent avec les ascorbates minéraux pour éviter le surdosage de minéraux spécifiques.
66. La vitamine C et la chimiothérapie : Le Dr Levy aborde l’idée fausse selon laquelle la vitamine C peut neutraliser les effets de la chimiothérapie. Il fait référence à plusieurs études qui montrent que la vitamine C non seulement n’entrave pas la chimiothérapie, mais peut améliorer son efficacité et réduire ses effets secondaires. Il note l’inquiétude croissante des oncologues au sujet de l’interaction potentielle de la vitamine C avec la chimiothérapie, suggérant que la communauté médicale accorde plus d’attention au sujet qu’on ne le pensait auparavant.
67. Dose intraveineuse de vitamine C : Le Dr Levy fournit des conseils sur la posologie de la vitamine C par voie intraveineuse. Il suggère une formule d’un à un gramme et demi par kilogramme de poids corporel. Il souligne l’importance d’assurer le confort du patient lors de l’administration intraveineuse. Si l’IV provoque de la douleur, elle doit être modifiée ou interrompue. La température de la solution IV peut également jouer un rôle dans le confort du patient. Rapprocher la solution de la température corporelle peut réduire l’inconfort des patients sensibles.
68. Technique d’administration IV : Le Dr Levy discute des aspects techniques de l’administration IV. Il mentionne que si le cathéter appuie contre la paroi veineuse, cela peut causer de l’inconfort. Dans de tels cas, l’IV doit être redémarrée à un endroit différent avec un angle inférieur. Il aborde également l’importance de la taille des veines, notant que les veines plus petites peuvent être plus sujettes à l’inconfort.
69. Température de la solution IV : Le Dr Levy fournit des conseils pratiques sur la façon de réchauffer la solution IV afin de réduire l’inconfort. Il suggère de placer la poche intraveineuse dans de l’eau chaude pour augmenter sa température avant d’ajouter de la vitamine C. Les flacons de vitamine C peuvent également être réchauffés de la même manière. Ce processus doit être fait rapidement pour prévenir la dégradation de la vitamine C.
70. Patients sensibles et administration intraveineuse : Le Dr Levy souligne l’importance d’adapter le processus d’administration intraveineuse aux besoins des patients sensibles. Il suggère d’utiliser l’anesthésie pour le confort si nécessaire, mais déconseille si la perfusion est déjà confortable.
71. Charges cancéreuses importantes et vitamine C IV : Le Dr Levy discute des effets de la vitamine C IV sur les patients atteints d’une charge cancéreuse importante. Il fait la différence entre les patients atteints de tumeurs physiquement grandes et ceux ayant une quantité importante de tissu cancéreux. Il commence à expliquer l’impact de la vitamine C sur les tumeurs sensibles à la vitamine.
72. La vitamine C et la mort des cellules cancéreuses : Le Dr Levy explique que lorsqu’une quantité importante de vitamine C est administrée et qu’elle tue un grand nombre de cellules cancéreuses, une ruée de sous-produits métaboliques pro-oxydants est libérée dans le sang. Cela peut conduire à une réponse « de type Herxheimer », qui est une réaction observée lorsqu’un grand nombre d’agents pathogènes sont tués et libèrent leurs endotoxines dans le sang et les tissus plus rapidement que le corps ne peut le gérer confortablement.
73. Gestion des effets indésirables : Si un patient commence à ne pas se sentir bien pendant une perfusion de vitamine C, le Dr Levy recommande de ralentir ou de suspendre la perfusion. Après cela, une perfusion plus lente d’une solution de vitamine C plus diluée peut être administrée. Cette approche aide à neutraliser les débris pro-oxydants dans le sang, conduisant à un soulagement des symptômes.
74. Le protocole Multi-C : Le Dr Levy introduit le concept du protocole Multi-C, qui consiste à administrer plusieurs formes de vitamine C pour obtenir des effets thérapeutiques optimaux. Cela inclut la vitamine C liposomale orale, qui est directement absorbée par les cellules, en particulier les cellules immunitaires autour de l’intestin. Il mentionne que même s’il croyait auparavant que des doses supérieures à 5 grammes de vitamine C liposomale pourraient ne pas être bénéfiques, les commentaires d’autres médecins ont montré que des doses aussi élevées que 30 grammes peuvent être efficaces, en particulier chez les patients cancéreux.
75. Vitamine C liposomale orale : Le Dr Levy souligne les avantages de la vitamine C liposomale orale, notant son absorption directe dans les cellules et son excrétion minimale par les reins. Cette forme de vitamine C peut être particulièrement bénéfique pour les patients souffrant d’insuffisance rénale.
76. Doses de tolérance intestinale : Le Dr Levy aborde le concept des doses d’ascorbate de sodium de tolérance intestinale. Cela implique de prendre des doses croissantes de vitamine C jusqu’à ce que des selles molles ou de la diarrhée se produisent, indiquant la dose maximale que le corps peut tolérer. Il mentionne que cette approche peut être bénéfique et est souvent négligée en faveur d’autres formes d’administration de vitamine C. Il suggère que si un patient éprouve de la diarrhée après avoir consommé une certaine quantité de vitamine C, il devrait réduire légèrement la dose et la prendre plusieurs fois par jour. Cette approche garantit que le patient reçoit une dose constante de vitamine C par voie orale sans l’effet secondaire de la diarrhée. Le Dr Levy souligne les avantages de la prise de vitamine C jusqu’à la tolérance intestinale. Il mentionne qu’il favorise une motilité intestinale accrue, conduisant à des selles plus régulières. En outre, elle aide à neutraliser les toxines d’une mauvaise digestion avant qu’elles ne soient absorbées dans le corps.
77. La vitamine C liposomale comme forme à action prolongée : Le Dr Levy décrit la vitamine C liposomale comme une forme à action prolongée de la vitamine. Contrairement à la forme en poudre, qui est absorbée rapidement, la vitamine C liposomale fournit une libération prolongée.
78. Vitamine C liposoluble : Le Dr Levy introduit une forme liposoluble de vitamine C appelée palmitate d’ascorbyle. Cette forme est absorbée dans les membranes de la paroi cellulaire, qui ont une teneur élevée en matières grasses, offrant une protection supplémentaire en vitamine C au niveau cellulaire.
79. Vitamine C par voie intraveineuse : Le Dr Levy recommande l’administration intraveineuse de vitamine C aussi souvent que le patient peut se le permettre et le tolérer. Il suggère de le combiner avec d’autres formes de vitamine C pour des avantages optimaux.
80. Remarques finales : Le Dr Levy conclut son exposé en citant Mark Twain, soulignant l’importance d’être prudent lorsqu’on lit des livres sur la santé. Il modifie la citation de Twain pour souligner les dangers potentiels de la désinformation dans le domaine médical. Il termine en remerciant l’auditoire et en indiquant qu’il sera disponible pour d’autres discussions dans l’après-midi.